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Arctic monkeys
Citation de brewster le 2 juillet 2023, 8 h 14 minJ’ai eu beau chercher pas trouvé de message sur ce groupe exceptionnel d’un chanteur charismatique atypique, prônant le costume et les ray ban en décalage avec son époque, leur dernier album dans la veine du précédent enfonce le clou d’une évolution sonore indéniablement ambitieuse tout en acceptant qu’il ne peut plus donner la même énergie des 2 premiers albums (ou l’envie tout simplement, il n’a que 35 et quelques années mais déjà 7 albums et 20 ans de carrière). Tournée sold out partout, public britons acquis à sa cause, recrutement d’une jeunesse qui n’était pas née à leur début, connaissant l’intégralité des lyrics (ce qui n’est pas rien, on a loué la logorrhée Springsteenienne que dire de celle d’Alex Turner).
Vu à Glastonbury, un poil fatigués, Turner sortant d’une laryngite avec annulation juste avant du concert de Dublin, ou tout simplement cette nonchalance toute britannique, Turner n’est pas du genre Lewis Capaldi tendant le micro vers un public acquis à sa cause faisant le travail à sa place, non, il déroule. Musique ciselée ambitieuse je disais, fait de changement de rythme d’arrangements précieux.totalement convaincu par leur dernier album, je crois que je me suis trouvé une énième addiction musicale.
J’ai eu beau chercher pas trouvé de message sur ce groupe exceptionnel d’un chanteur charismatique atypique, prônant le costume et les ray ban en décalage avec son époque, leur dernier album dans la veine du précédent enfonce le clou d’une évolution sonore indéniablement ambitieuse tout en acceptant qu’il ne peut plus donner la même énergie des 2 premiers albums (ou l’envie tout simplement, il n’a que 35 et quelques années mais déjà 7 albums et 20 ans de carrière). Tournée sold out partout, public britons acquis à sa cause, recrutement d’une jeunesse qui n’était pas née à leur début, connaissant l’intégralité des lyrics (ce qui n’est pas rien, on a loué la logorrhée Springsteenienne que dire de celle d’Alex Turner).
Vu à Glastonbury, un poil fatigués, Turner sortant d’une laryngite avec annulation juste avant du concert de Dublin, ou tout simplement cette nonchalance toute britannique, Turner n’est pas du genre Lewis Capaldi tendant le micro vers un public acquis à sa cause faisant le travail à sa place, non, il déroule. Musique ciselée ambitieuse je disais, fait de changement de rythme d’arrangements précieux.
totalement convaincu par leur dernier album, je crois que je me suis trouvé une énième addiction musicale.