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Deliver me from nowhere: l'enregistrement de Nebraska le film
Born to Run dans le film :
Quelques critiques (comme après le festival de Telluride, elles ne sont pas toutes positives) :
https://screencrush.com/springsteen-deliver-me-from-nowhere-movie-review/
La voix et la gestuelle sont incroyables
Ce biopic, comme beaucoup d'autres, m'a l'air assez caricatural. Celui sur Dylan était remarquable (A Complete Unknown) et m'avait bluffé; celui-ci ne m'inspire pas du tout.
Tu saurais expliquer pourquoi ? On est quand même dans le même esprit d'après la promo, non ?
Sinon, la presse française voit le film la semaine prochaine avant la projection à Lyon
Le mot caricatural ne convient pas. Je n’ai pas accroché en regardant les trailers. J’ai eu la même impression que pour les récents biopics sur Bob Marley ou Elvis Presley. Difficile à expliquer...
Personne n’a pensé à lui donner un mediator ?!
Citation de Kyle William le 1 octobre 2025, 16 h 28 minPersonne n’a pensé à lui donner un mediator ?!
Il a un médiator, d'ailleurs il le tient un peu comme Bruce avec le bout des doigts. Mais c'est vrai que la gestuelle de la main droite n'est pas super, la main est trop lâche je pense. Mais on chipote...
Fichiers téléversés :
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Oui, Bruce est un strummer , tout comme Joe, d’où le nom de scène de celui-ci, c’est à dire qu’il joue du coude en règle générale… mais on chipote comme vous dites.
Et puis le but n’est pas d’avoir un sosie sur scène même si l’extrait est pour le reste impressionnant de ce point de vue…
Ouais, j’étais vent debout quand j’ai vu le casting du film (et je n’aime pas les biopics de façon générale, je suis encore tombé sur celui de Freddie Mercury la semaine passée : y a pas à dire, ça ne fait pas de bons films : ce ne sont que des produits de vulgarisation pour le plus grand nombre et rien de plus), mais maintenant j’avoue que les trailers de celui-ci m’ont un peu intrigué : à aucun moment, je n’ai eu l’impression de voir Springsteen mais plutôt un film sur un jeune type qui déambule seul et déprimé dans l’Amérique des années 70 et va tomber amoureux d’une serveuse mais ça ne durera pas. Un peu le même pitch que le très oublié Homeboy avec Mickey Rourke, également tourné à Asbury Park.