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Hubert Lenoir
Un post entouré de John Mayall, CCR, ou Van the Man, c'est ambitieux. Mais j'ose, coup de coeur de la semaine, l'album Darlène d'Hubert Lenoir, québécois de 24 pîges, qui aime l’ambiguïté et se déguiser en femme, n'a pas inventé l'eau froide sur ce thème archi rebattu dans les archives de wok'nwoll, mais que diable, que cet album est excitant, efficace, jouissif, fortement conseillé.
j'ai mis 3 ans a voir ce jeune québécois sur Scène, Au stereolux de Nantes la semaine dernière. Pas écouter le dernier album, la pochette étant tellement moche et dans l'air du temps, j'ai fait un blocage, la tournée française du 1er album n'avait sans doute pas tenue toute ses promesses, un concert parisien décevant (rapporté par des témoins, chanteur déçu du peu de réaction de l'auditoire commençant a les charrier c'est jamais bon ca). Voyant passer Lenoir à Nantes je prend 2 tickets, pas complet je restais perplexe. Et be mazette grosse claque dans la gueule, un show surpuissant un envie d'en découdre, de revanche, le rock dans toute sa splendeur, un rock dangereux comme il devrait toujours être, ambiguë (le thème n'a pas changé, je suis un vieux crouton je m'adapte à l'air "non genré" et toute ces conneries du moment, Verati joueur du PSG se déclare lui aussi "non genré", mazette le monde bouge sous mes pieds). Une énergie folle (je crains pour sa santé), musicos aux petits oignons, et puis un sax un piano ca vous rappelle rien ? pas si fréquent de nos jours un sax sur une scène rock. Faut se faire à l'accent quebecois pas super rock cf Celine Dion et "mon mari rené"...et comme tous les canadiens au final un amour du deguisement car il vient sur scène en robe de chambre et pyjama (ca vous rappelle pas Gonzales çà ?) il finit en caleçon.
Franchement derrière l'apparats Princien du jeune homme, il y a chez lui une énergie formidable, fortement conseillé si vous avez l'occasion.
Citation de brewster le 4 mai 2022, 10 h 13 minj'ai mis 3 ans a voir ce jeune québécois sur Scène, Au stereolux de Nantes la semaine dernière. Pas écouter le dernier album, la pochette étant tellement moche et dans l'air du temps, j'ai fait un blocage, la tournée française du 1er album n'avait sans doute pas tenue toute ses promesses, un concert parisien décevant (rapporté par des témoins, chanteur déçu du peu de réaction de l'auditoire commençant a les charrier c'est jamais bon ca). Voyant passer Lenoir à Nantes je prend 2 tickets, pas complet je restais perplexe. Et be mazette grosse claque dans la gueule, un show surpuissant un envie d'en découdre, de revanche, le rock dans toute sa splendeur, un rock dangereux comme il devrait toujours être, ambiguë (le thème n'a pas changé, je suis un vieux crouton je m'adapte à l'air "non genré" et toute ces conneries du moment, Verati joueur du PSG se déclare lui aussi "non genré", mazette le monde bouge sous mes pieds). Une énergie folle (je crains pour sa santé), musicos aux petits oignons, et puis un sax un piano ca vous rappelle rien ? pas si fréquent de nos jours un sax sur une scène rock. Faut se faire à l'accent quebecois pas super rock cf Celine Dion et "mon mari rené"...et comme tous les canadiens au final un amour du deguisement car il vient sur scène en robe de chambre et pyjama (ca vous rappelle pas Gonzales çà ?) il finit en caleçon.
Franchement derrière l'apparats Princien du jeune homme, il y a chez lui une énergie formidable, fortement conseillé si vous avez l'occasion.
un petit coucou rapide d'une nantaise