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Tour 2023 : vos impressions et vos souvenirs
Il reste 31 concerts au Canada et aux USA mais je pense que pour la plupart des "forumeurs" la tournée 2023 vient de s'arrêter.
C'est l'heure des bilans comme on dit. On peut tout se dire... sauf regretter l'absence de chorale juvénile sur Waiting On A Sunny Day. Il faut bien des lignes rouges.
☺️😊🙂
Un bilan très mitigé pour ce qui me concerne. Un concert à Ferrara qui restera le moins bon auquel j'ai assisté depuis 1981. J'ai écouté la plupart des concerts (tout ou partie) des tournées US et Europe et je n'ai jamais vraiment accroché sans pouvoir réellement l'expliquer. Peut-être une impression de lourdeur globale, la voix qui n'est plus aussi assurée, des interprétations très figées alors que les setlists variaient très peu, une absence globale de surprise. En clair je ne sais pas trop quoi en penser si ce n'est que je ne suis pas sûr d'y retourner l'an prochain.
Je garde un enthousiasme candide refusant de voir le temps qui passe, les chutes sur scène, des concerts de 2 h 50 et non 3 h 45, une setlist figée par le prompteur, les doc Martens. Tout m’a plus de l’achat de places (c’est devenu ma petite maladie dégotter des tickets) aux 4 concerts, New York Brooklyn Paris Londres. Je rêvais d’une année Springsteen et se fut …. Une année Springsteen Arctic monkeys Blur. Un revival musical enthousiasmant. Je loue la présence de Springsteen qui connaît bien son métier, et sait donner l’image de l’énergie….et je m’en lasserais jamais, j’ai aimé E street shuffle Kitty’s back qui montre la pleine puissance de sa musique de son groupe. Et j’ai croisé Garry sur Denmark street à Londres et je ne m’en suis toujours pas remis car ce n’était pas un troupeau de fans avec des stylos en mains mais moi Garry qui flânait par un beau soleil à Londres tous les 2 (3 je ne t’oublie pas Philippe). Bref j’en serai l’année prochaine c’est certain.
j’oubliais je loue que Springsteen ait repris en main le storytelling de ses concerts virant pancartes et duos improbables avec les kids. 👏👏👏
Un beau souvenir pour commencer !!!
Une rencontre, une vraie (en présentiel), avec bbj sur le parvis de l'U Arena à la fin du 1er concert. Salut Christophe 😉
Citation de brewster le 29 juillet 2023, 12 h 16 minJe garde un enthousiasme candide refusant de voir le temps qui passe, les chutes sur scène, des concerts de 2 h 50 et non 3 h 45, une setlist figée par le prompteur, les doc Martens. Tout m’a plus de l’achat de places (c’est devenu ma petite maladie dégotter des tickets) aux 4 concerts, New York Brooklyn Paris Londres. Je rêvais d’une année Springsteen et se fut …. Une année Springsteen Arctic monkeys Blur. Un revival musical enthousiasmant. Je loue la présence de Springsteen qui connaît bien son métier, et sait donner l’image de l’énergie….et je m’en lasserais jamais, j’ai aimé E street shuffle Kitty’s back qui montre la pleine puissance de sa musique de son groupe. Et j’ai croisé Garry sur Denmark street à Londres et je ne m’en suis toujours pas remis car ce n’était pas un troupeau de fans avec des stylos en mains mais moi Garry qui flânait par un beau soleil à Londres tous les 2 (3 je ne t’oublie pas Philippe). Bref j’en serai l’année prochaine c’est certain.
j’oubliais je loue que Springsteen ait repris en main le storytelling de ses concerts virant pancartes et duos improbables avec les kids.
Toute la différence entre un vrai fan toujours motivé et moi qui voit le temps passer 🙂
"Time waits for no one"
13 et 15 mai.
Bof.
Une exécution de très bon niveau d'une trentaine de morceaux. C'est bien mais ce n'est pas ce que j'attends d'un concert de BS.
Tout d'abord cette immense émotion de retrouver Bruce après une si longue absence, deux très bons concerts à Dublin (avec en plus une organisation parfaite et sans stress... la France devrait bien sans inspirer quand on voit le bordel sans nom du U Arena), des morceaux emblématiques : Prove it, Promised Land, Backstreets (beau à pleurer) etc, des raretées, E street Shuffle, Kitty (que j'espérais depuis tellement longtemps), (dommage que Rosalita soit restée aux US)
Un set resserré, puissant, Bruce et tout les gars au top, toujours impliqués malgré des setlists presque figées.
Mon seul petit regret c'est d'avoir enchaîné avec Paris, quatre concerts à suivre.... j'aurais aimé le revoir en fin de tournée pour en profiter encore et encore...
J'y retourne l'année prochaine sans hésitation !
je n’ai assisté “qu’aux” deux concerts Parisiens
…évidemment une grande joie de me retrouver avec mes amis si cher dans un contexte si joyeux.
L’avant concert et l’après concert participant énormément au bonheur de l’instant, boosté par le plaisir éternel de retrouver le vieux copain et ses compagnons de route sur scène.
Avec un premier concert lors duquel, je suis resté un peu sur ma faim tout de même, en terme d’émotion, et un second qui lui m’a bien porté vers quelques bonheurs plus fous.
Mais cette impression un peu nostalgique pour finir, d’avoir à accepter que le curseur du plaisir lié a l’âge du capitaine et de ses moussaillons ne me remplirait plus jamais du kiff de l’urgence que j’ai pu ressentir chez eux lors de concerts précédents.
Je l’ai accepté. Car c’est tout simplement le sens de la vie qui, lorsqu’elle s’aventure vers le crépuscule, ne propose plus le même rendement que lorsqu’il s’agit de conquérir les foules.
C’était pro, carré, parfaitement maîtrisé, bien envoyé (dans le sens où le boss a bien fait le job avec une présence guitaristique formidable), mais plus sage, moins fou, moins spontané.
La douce folie douce qui accompagnait la découvertes des sets lists les lendemains de chacun des concerts, avec les surprises qui pouvaient sortir du chapeau ça et la et l’enthousiasme collectif qui en découlait lors des nombreux débats post concerts que nous avons eu ici sur ce forum ou autour d’un verre, sont des élément trop historiques et incontournables, vivants, pour que je ne ressente pas un fond de “end of the story”.
Je ne peux dissocier de cette impression, l’album qui a précédé la tournée (album sans intérêt aucun pour moi) et son “titre phare” “Nighshift”.
Quand l’un des songwriters les plus prolifiques à travers les âges propose comme pivot du show, une reprise plutôt qu’un titre original extrait de son dernier album, il y a une forme de frustration me concernant. Forcément.
Donc à l’arrivée: bien.
Mais aurait pu mieux faire en étant, çà et là, moins prévisible, plus généreux (je pense aux concerts sous la pluie ou après la pluie en Italie par exemple, lors desquels les éléments météos que savait si bien utiliser le boss sont restés sous le parapluie si confortable d’une set list prévue et prévisibles).
Mais, comme le dit Yann, j’y retourne l’an prochain, sans hésitations.
Pour moi aussi, les retrouvailles eurent lieu pour les 2 concerts parisiens. Arrivant le jour même dans l'après-midi, j'ai été surpris d'entrer dans la salle à 19h, les lumières venaient de s'éteindre. Il m'a fallu quelques titres pour être bien rentré dans le concert. Paradoxalement, c'est le deuxième partie du concert (à partir de Mary's Place) qui a le mieux fonctionné sur moi et sur le public en général. Le deuxième soir, j'ai eu le sentiment un peu inverse. Un début de concert vraiment enthousiasmant (Darkness!) et une deuxième partie un peu moins énergique.
Je n'avais pas vraiment programmé d'autres concerts en Europe (le timing n'était pas le bon et les lieux proposés étant bof bof). Je regrette de ne pas avoir vu le quatuor Hometown/River/LMS/Backstreets qui donne une densité émotionnelle plus forte que l'enchainement Mary's Place/Johnny 99 ou Pay Me My Money Down.
La suite, c'est Toronto en novembre avec deux concerts en salle. Je ne suis convaincu qu'il change drastiquement de direction dans le set et donc ce n'est pas mal d'avoir l'opportunité d'attendre un peu entre les concerts. Je n'ai donc à attendre jusqu'en 2024... même si j'espère bien profiter de l'opportunité de revoir le ESB sans doute pour les dernières fois.