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Tracks II, Streets Of Philadelphia Sessions, vos avis.
Citation de marcolas le 30 juin 2025, 16 h 54 minQuelques titres peut-être un poil répétitifs mais on lui pardonne. Ca aurait du sortir à l'époque de Streets, ça le mérite.
Quelques titres peut-être un poil répétitifs mais on lui pardonne. Ca aurait du sortir à l'époque de Streets, ça le mérite.
Citation de tofenko le 30 juin 2025, 21 h 02 minOui, et un vrai bijou, something in the Well, qui a dû l’inspirer pour TGOTJ… et puis Waiting on the end of the world qui était déjà paru en pirate. On imagine que ça aurait pu donner un album solide avec SOP et Missing ou Dead man walking en plus… Mais c’est vrai que ça peut paraître manquer de titres très rythmés. Qu’il ne l’ait pas publié à l’époque reste un mystère pour moi…
Oui, et un vrai bijou, something in the Well, qui a dû l’inspirer pour TGOTJ… et puis Waiting on the end of the world qui était déjà paru en pirate. On imagine que ça aurait pu donner un album solide avec SOP et Missing ou Dead man walking en plus… Mais c’est vrai que ça peut paraître manquer de titres très rythmés. Qu’il ne l’ait pas publié à l’époque reste un mystère pour moi…
Citation de gwenrub le 12 juillet 2025, 9 h 25 minC'est très bon, on ascille entre Tunnel of love et Tom Joad, un vrai album passerelle.
C'est très bon, on ascille entre Tunnel of love et Tom Joad, un vrai album passerelle.
Citation de phil le 12 juillet 2025, 10 h 13 minoui bien d'accord avec vous
s'il avait eu l'idée de sortir ça avec streets of phily en 94 il aurait fait un énorme carton à cette époque !
oui bien d'accord avec vous
s'il avait eu l'idée de sortir ça avec streets of phily en 94 il aurait fait un énorme carton à cette époque !
Citation de arizojp le 12 juillet 2025, 10 h 20 minCitation de tofenko le 30 juin 2025, 21 h 02 minQu’il ne l’ait pas publié à l’époque reste un mystère pour moi…
C'est une réflexion que nous sommes beaucoup à avoir. Il y a cet album et Inyo qui sont pour moi une énigme quand à leurs mises aux "vaults".
L'influence de Jon Landau doit être majeure des ce genre de prises de décisions. Dans les multiples interviews et chroniques récentes, son nom est évoqué quand ces résurgences des "Lost Albums" est évoqué.
Springsteen (ou Prince) sont des artistes nés trop tôt pour le business de la musique.
Dans les années 60, les Beatles, les Stones et d'autres pouvaient sortir deux albums par an et en sus sortir des singles qui n'étaient pas repris dans les albums.
Dans les années 70, la "tradition" était l'album annuel.
Et au fil des décennies le délai s'est allongé. 3 ou 4 ans est plus ou moins la norme pour le gratin de la musique. Car la sortie d'un album n'est plus qu'un prétexte pour partir en tournée qui va s'étaler généralement sur deux ans. On est dans un cycle : un an de repos, un an pour composer-enregistrer-sortir un album et deux années à tourner en plusieurs legs distincts.
Les revenus sur la vente des disques étant devenus infimes par rapport aux revenus générés par les tournées. D'où le prix exponentiel des billets de concerts.
Bruce ne connait quasiment pas le repos. Il compose, il enregistre, il stocke. Ou plus rarement ça finit en un album.
Dans les années 70, tous ces albums de Tracks II auraient fini dans les bacs. Les Jon Landau de l'époque ne faisaient pas le même genre de calcul. Et les tournées c'était une année, et rarement une seconde (et dans le laps de temps un autre album était sorti).
Citation de tofenko le 30 juin 2025, 21 h 02 minQu’il ne l’ait pas publié à l’époque reste un mystère pour moi…
C'est une réflexion que nous sommes beaucoup à avoir. Il y a cet album et Inyo qui sont pour moi une énigme quand à leurs mises aux "vaults".
L'influence de Jon Landau doit être majeure des ce genre de prises de décisions. Dans les multiples interviews et chroniques récentes, son nom est évoqué quand ces résurgences des "Lost Albums" est évoqué.
Springsteen (ou Prince) sont des artistes nés trop tôt pour le business de la musique.
Dans les années 60, les Beatles, les Stones et d'autres pouvaient sortir deux albums par an et en sus sortir des singles qui n'étaient pas repris dans les albums.
Dans les années 70, la "tradition" était l'album annuel.
Et au fil des décennies le délai s'est allongé. 3 ou 4 ans est plus ou moins la norme pour le gratin de la musique. Car la sortie d'un album n'est plus qu'un prétexte pour partir en tournée qui va s'étaler généralement sur deux ans. On est dans un cycle : un an de repos, un an pour composer-enregistrer-sortir un album et deux années à tourner en plusieurs legs distincts.
Les revenus sur la vente des disques étant devenus infimes par rapport aux revenus générés par les tournées. D'où le prix exponentiel des billets de concerts.
Bruce ne connait quasiment pas le repos. Il compose, il enregistre, il stocke. Ou plus rarement ça finit en un album.
Dans les années 70, tous ces albums de Tracks II auraient fini dans les bacs. Les Jon Landau de l'époque ne faisaient pas le même genre de calcul. Et les tournées c'était une année, et rarement une seconde (et dans le laps de temps un autre album était sorti).
Citation de transpirator le 14 juillet 2025, 10 h 59 minquelques longueurs sur certains morceaux mais l'ensemble est une belle surprise : je n'aime pas les synthés et les nappes mais là je suis assez bluffé par la puissance évocatrice qui se dégage
dommage qu'il n'y ait pas eu de sortie à l'époque 😉
quelques longueurs sur certains morceaux mais l'ensemble est une belle surprise : je n'aime pas les synthés et les nappes mais là je suis assez bluffé par la puissance évocatrice qui se dégage
dommage qu'il n'y ait pas eu de sortie à l'époque 😉
Citation de Malpaso25 le 24 juillet 2025, 7 h 36 minJe poursuis à mon rythme la découverte de ces nouveaux albums et depuis une semaine je suis passé de LA83 à celui ci.
Je trouve cet album d'une beauté absolue à tous les niveaux : compositions, musiques, interprétation , et aussi production d'un tout autre calibre que celle de Human Touch ou LT.
Je ne suis pas fan à la base des boucles et des boites à rythme, mais là c'est franchement envoutant et pas dérangeant, et mon seul regret est de ne pas y avoir fait figurer Street of Philadelphia et Missing que j 'adore et qui sont du même niveau, histoire d'être completiste avec cette sortie.
Dés Blind Spot, on replonge dans l'ambiance/style de Street of P....
"Something in the well" et "maybe i don't know" me font penser aux morceaux "gosth of TJ" et "Nothing man" . Laversion de Secret garden m'apparait aussi plus convaincante et à sa place dans cet album que la version que nous avions connu sur le greatest hit.
Je trouve aussi toutes les parties guitares sur ce disque splendides .
Bref un fabuleux album qui aurait assurément cartonné s'il était sorti en 94, porté par le "tube " streets of P., mais qui aurait pu aussi dérouter une partie de ses fans de base de par le style de l'album.
Petite question: on connaissait depuis longtemps une autre versionde Waiting on the end of the world;
https://youtu.be/9VdUYYw6wtA?si=KiSP-l-J1jgdtYHH
Savez vous d'où elle provient, année notamment ? à son écoute on dirait qu'elle est jouée avec le E Street B (saxo, piano etc...) Et perso je préfère la version plus depouillée et plus convaincante des sessions 94
Je poursuis à mon rythme la découverte de ces nouveaux albums et depuis une semaine je suis passé de LA83 à celui ci.
Je trouve cet album d'une beauté absolue à tous les niveaux : compositions, musiques, interprétation , et aussi production d'un tout autre calibre que celle de Human Touch ou LT.
Je ne suis pas fan à la base des boucles et des boites à rythme, mais là c'est franchement envoutant et pas dérangeant, et mon seul regret est de ne pas y avoir fait figurer Street of Philadelphia et Missing que j 'adore et qui sont du même niveau, histoire d'être completiste avec cette sortie.
Dés Blind Spot, on replonge dans l'ambiance/style de Street of P....
"Something in the well" et "maybe i don't know" me font penser aux morceaux "gosth of TJ" et "Nothing man" . Laversion de Secret garden m'apparait aussi plus convaincante et à sa place dans cet album que la version que nous avions connu sur le greatest hit.
Je trouve aussi toutes les parties guitares sur ce disque splendides .
Bref un fabuleux album qui aurait assurément cartonné s'il était sorti en 94, porté par le "tube " streets of P., mais qui aurait pu aussi dérouter une partie de ses fans de base de par le style de l'album.
Petite question: on connaissait depuis longtemps une autre versionde Waiting on the end of the world;
Savez vous d'où elle provient, année notamment ? à son écoute on dirait qu'elle est jouée avec le E Street B (saxo, piano etc...) Et perso je préfère la version plus depouillée et plus convaincante des sessions 94
Citation de Fabrice le 24 juillet 2025, 15 h 18 minElle a été enregistrée pendant les sessions pour le Greatest Hits.
Elle a été enregistrée pendant les sessions pour le Greatest Hits.
