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Classement ATP des vendeurs de disques depuis 1969
Je crois que c'est ça :
- ventes revendiquées : chiffres des maisons de disques
- Ventes certifiées : chiffres par un tiers.
Ca doit être comme pour les manifestations en France, on a les chiffres des organisateurs (beaucoup de monde), ceux de la police (pas beaucoup) et ceux de la presse (ça dépend pour qui elle est).
Jolie animation, sacré boulot de geek mais je pense qu'il y a quelques oublis :
exemple Pearl Jam entre 92 et 95 qui vendaient des wagons de disques, notamment aux US ou ils ont toujours (je crois) le record du plus grand nombre de ventes en une semaine avec VS - près d'un million. C'est étonnant qu'ils n'y figurent pas du tout...Les Black Crowes premier album idem...
Citation de Metalxiii le 10 novembre 2019, 11 h 45 minJe crois que c'est ça :
- ventes revendiquées : chiffres des maisons de disques
- Ventes certifiées : chiffres par un tiers.
Ca doit être comme pour les manifestations en France, on a les chiffres des organisateurs (beaucoup de monde), ceux de la police (pas beaucoup) et ceux de la presse (ça dépend pour qui elle est).
Les ventes "certifiées" le sont par les organismes professionnels qui remettent les disques d'or et autres.
Ce sont des seuils. Un disque d'or en France en 2019, c'est 50.000 ventes certifiés. Le seuil suivant est à 100.000.
Si un artiste vend 75.000 disques, sa maison de disque peut les revendiquer (y compris en gonflant les chiffres)... mais la certification ne nous renseignera que sur le fait qu'il a vendu au moins 50.000 disques (mais pas encore 100.000).
Pour compliquer les choses, certains pays retiennent les exemplaires vendus au détail (comme en France), d'autres retiennent les exemplaires "mis sur le marché" ("shipped"). Sans compter que dans le passé, la RIAA (USA) comptabilisait les ventes d'un double-album comme deux ventes (avec des effets démultiplicateurs comme pour le coffret Live 75/85).
La chose n'est pas plus simple aujourd'hui puisque les écoutes en Streaming sont comptabilisées comme des ventes, selon des formules mathématiques différentes selon les pays.
Autre « anormalités » constatée, l’absence dans les 80´s de Iglésias. Le chanteur de charme espagnol était un vendeur énorme a cette époque la. A tel point qu’il avait un compte spécial, rien que pour lui, chez Columbia. « Privilège » dont il était le seul à profiter avant que Michael J ait lui aussi le sien, après le raz de marée « Thriller ».