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Lorsque Bruce Springsteen est cité dans les films ou séries TV

C'est bien sympa. Merci

merci pour le partage, je connaissais pas .

Le monde se divise en deux catégories ...

Une très rapide allusion à Bruce dans l'épisode 07 de la saison 03 de la série SUCCESSION.

Kendall est le fils maudit (à gauche sur la photo...), la 5e roue du carrosse, celui qui fout la merde dans la famille... 😉

Fichiers téléversés :
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Série : Gilmore Girls

Saison : 2

Episode : 14

33eme minute

Ma petite signature !

In French... 😉

Bruce Springsteen, Gilmore Girls, S02E14

Et je Rajoute...

Bruce Springsteen, High Hopes, The Good Wife S05E12

Et...

Bruce Springsteen, Hunter of Invisible Game, The Good Wife S05E12

Bruce Springsteen dans Gilmore Girls Saison 03 épisode 03

Bruce Springsteen, le héros des masses laborieuses dans Gilmore Gilrs, Saison 03 épisode 19

Bruce Springsteen, The Ghost of Tom Joad, dans The Good Wife, S05E12

CBS offre une première écoute inédite du nouvel album de Bruce Springsteen dans sa série The Good Wife. High Hopes, le 18e album du Boss, sera non seulement disponible en streaming, et en exclusivité, sur le site de la chaîne dès le 5 janvier mais il sera aussi écoutable, le 12 janvier, deux jours avant sa sortie dans les bacs, dans un épisode de la meilleure série de grande chaîne américaine du moment. Trois titres, High Hopes, Hunter of Invisible Game et The Ghost of Tom Joad, seront introduits dans la B.O de l’épisode We the Juries.

Bruce Springsteen, High Hopes, The Good Wife S05E12

 

Vive la Retraite !!! 😉

 

 

Show Me a Boss: L’utilisation de Bruce Springsteen dans 'Show Me a Hero'

 

Lorsque vous regardez une émission de David Simon, vous êtes souvent confronté à la musique, mais vous devez attendre la fin de la saison pour entendre la chanson. La musique sort des vitres des voitures, est pratiquée par les musiciens, est chantée a cappella par les soldats (criez à la version de James Ransone de « Complicated » d’Avril Lavigne dans Generation Kill). Pour la plupart, les sons que vous entendez dans The WireThe CornerGeneration Kill et même un spectacle aussi obsédé par la musique que Treme sont diégétiques – des sons qui proviennent de l’écran. Ils proviennent d’instruments, d’autoradios, de personnages chantants, mais ils sont enracinés dans la réalité, comme c’est le cas pour une grande partie du travail de Simon.

Ces émissions portent en grande partie sur le processus. Le processus d’être un flic, ou un criminel, ou un chef, ou un musicien, ou un soldat. Les spectacles prennent un plaisir presque profond à présenter le grind de la vie - la paperasse, les déplacements, les déceptions banales et les querelles de travail intra-bureau; l’alimentation, le nettoyage et le soutien de la famille à la maison. Quand un moment émotionnel frappe – franchement, quand quelque chose de télévisuel se produit1 — c’est comme un marteau. On se sent mérité.

Il en va de même pour l’utilisation non diégétique de la musique par Simon. Typiquement, à la fin d’un final de saison, le réalisme tout-puissant est abandonné2 ainsi... Eh bien, nous pouvons entendre une très bonne chanson, que ce soit « I Feel Alright » de Steve Earle, la version de Paul Weller de « I Walk on Gilded Splinters » ou « The Man Comes Around » de Johnny Cash. Ces morceaux peuvent avoir des sous-jacents thématiques similaires aux saisons qu’ils terminent, mais généralement, ils sonnent vraiment bien sur une série d’images.

Le dernier effort de Simon, la mini-série en six parties Show Me a Hero, est un départ. Après le retentissement et les bips d’un pager de la première scène, « Gave It a Name » de Bruce Springsteen est la première chose que nous entendons dans ce spectacle. Tiré du coffret Tracks de Springsteen, « Gave It a Name » a été enregistré au début des années 90 lors des sessions Human Touch mais n’a pas été inclus sur le LP. Il a une ambiance Lou Reed – Springsteen chantant sur une jolie progression d’accords – et un thème biblique, reliant le mal que font les hommes de Cain et Abel à la violence domestique moderne.

Alors que « Gave It a Name » joue, nous voyons une série d’images juxtaposées: des immeubles de grande hauteur de logements sociaux, des enfants jouant au basket-ball dans des terrains de jeux ou roulant sur de grandes roues devant des pelouses de banlieue, une rivière qui coule, des maisons en rangée avec des drapeaux agités dans la brise. Les images sont immenses et intimes. Le spectacle aussi.

Il y a eu huit chansons de Springsteen utilisées dans les quatre premiers épisodes de Show Me a Hero, et il y en a apparemment quatre autres dans les deux derniers épisodes, qui sont diffusés dimanche soir. Paul Haggis, le réalisateur de la série, a déclaré à Indiewire que les esprits créatifs derrière la série cherchaient une « identité musicale » pour le protagoniste de Show Me a Hero, le maire Nick Wasicsko, joué par Oscar Isaac. Il est, selon les mots de Haggis, « un gars de Springsteen »Il a 28 ans, vit dans une ville de cols bleus, un ancien flic. Il serait assez facile de dire : « Années 1980, gars de la classe ouvrière... SPRINGSTEEN », mais la musique sert un but créatif plus grand que cela.

Wasicsko est un protagoniste de David Simon. Il est notre navire pour comprendre toutes les questions complexes de gouvernement local, de développement du logement, de déségrégation et de querelles politiques qui se déroulent. Il est nouveau dans son travail, alors au fur et à mesure qu’il apprend, nous apprenons. Isaac donne une performance incroyablement détaillée, humaine et vécue, mais il n’y a pas eu beaucoup de temps pour une exposition émotionnelle. Nous sommes trop occupés avec les ordonnances des tribunaux et les sites de logement. C’est là qu’intervient Springsteen.

La musique de Springsteen ne fournit pas seulement l’identité musicale de Wasicsko, elle fournit son identité émotionnelle. Lorsque « Hungry Heart » joue dans un restaurant, Wasicsko discute de son ambition professionnelle. Lorsque Wasicsko et sa petite amie, Nay Noe, emménagent ensemble, « Tout ce que le ciel permettra » colore leur histoire d’amour florissante. « Ramrod » et « Cadillac Ranch » donnent un élan moteur à sa carrière qui explose (et implose), et « Brilliant Disguise » fait allusion à quelque chose de plus sombre émergeant dans sa vie personnelle.

Parfois Springsteen est à la radio, parfois c’est couché. Cela ne semble jamais envahissant, et cela semble toujours juste à temps avec la série (même lorsque, dans le cas de « Gave It a Name », ce n’est pas exactement exact en termes de chronologie). Selon Haggis, c’était une décision de postproduction d’inclure ces chansons, mais il est difficile d’imaginer le même spectacle sans elles. Ces chansons fonctionnent comme une sorte de raccourci émotionnel – elles parlent quand les gens sont trop occupés pour vraiment parler.