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Neil Young
Citation de Fabrice le 26 octobre 2019, 15 h 18 minJ'ai jeté une oreille au dernier Neil Young. Plutôt pas mal, non?
J'ai jeté une oreille au dernier Neil Young. Plutôt pas mal, non?
Citation de outlawpedro le 26 octobre 2019, 19 h 00 minOui, oui, ça tient la route ....
Oui, oui, ça tient la route ....
Citation de Yann42 le 3 novembre 2019, 17 h 55 minMoi je le trouve vraiment très bien ce "Colorado"...le meilleure depuis Psychedelic Pill et largement au dessus des derniers efforts du Loner avec les Promis of The Real.
Il y a vraiment un truc particulier quand Neil Young joue avec le Crazy Horse je trouve, un son, une ambiance, une simplicité qui va droit au but. Colorado n'est pas "furieux" comme Psychedelic Pill, il a un côté feutré, rond qui le rend très chaleureux je trouve. Idéal pour la saison...
En fait je trouve cet album sublime.
Yann
Moi je le trouve vraiment très bien ce "Colorado"...le meilleure depuis Psychedelic Pill et largement au dessus des derniers efforts du Loner avec les Promis of The Real.
Il y a vraiment un truc particulier quand Neil Young joue avec le Crazy Horse je trouve, un son, une ambiance, une simplicité qui va droit au but. Colorado n'est pas "furieux" comme Psychedelic Pill, il a un côté feutré, rond qui le rend très chaleureux je trouve. Idéal pour la saison...
En fait je trouve cet album sublime.
Yann
Citation de roadrunner le 23 février 2020, 15 h 59 minEt bien pas cool les internautes, je veux bien croire que ce sont les lecteurs du Figaro mais ils font pas dans la demi-mesure... savent ils vraiment de quoi et de qui ils parlent ???
Et bien pas cool les internautes, je veux bien croire que ce sont les lecteurs du Figaro mais ils font pas dans la demi-mesure... savent ils vraiment de quoi et de qui ils parlent ???
Citation de bucheron le 23 février 2020, 22 h 49 minCitation de roadrunner le 23 février 2020, 15 h 59 minEt bien pas cool les internautes, je veux bien croire que ce sont les lecteurs du Figaro mais ils font pas dans la demi-mesure... savent ils vraiment de quoi et de qui ils parlent ???
Qu'est-ce qu'être cool ? Qu'est-ce que savoir de quoi on parle ? Ca veut dire quoi ? Etre en phase avec son interlocuteur du moment ? Ne pas avoir les oreilles qui dépassent ?
Les appels à soutien sont si souvent risibles, pauvres, que voilà, on fait "pffff" sans même plus y faire attention.
Dans le cas de N. Young il me semble qu'il y a un peu plus cerveau que chez d'autres (...). Il est critique avec Obama, n'avait pas été un support de H. Clinton par simple rejet de Trump. Il supporte Sanders depuis un bail. Sauf que bon, ce qui intéresse les torchons reste de pouvoir titrer un truc contre Trump. La pensée... c'est compliqué... ça prend de la place... tout ça. Donc les lecteurs ont vite fait de se positionner avec très très peu d'informations.
Savent-ils vraiment de quoi et qui ils parlent. On dirait qu'ils parlent de "l'anti-trumpisme" primaire alors que pas de bol, pour une fois, ce n'est pas le cas (je crois car des fois je peux parler sans trop savoir de quoi ni qui je parle).
Enfin bon : si l'on regarde un peu dans le rétro on dirait que quel que soit la personne à la maison blanche, cela peut changer dans la forme mais peu dans le fond (j'espere que l'avenir me donnera tort).
Citation de roadrunner le 23 février 2020, 15 h 59 minEt bien pas cool les internautes, je veux bien croire que ce sont les lecteurs du Figaro mais ils font pas dans la demi-mesure... savent ils vraiment de quoi et de qui ils parlent ???
Qu'est-ce qu'être cool ? Qu'est-ce que savoir de quoi on parle ? Ca veut dire quoi ? Etre en phase avec son interlocuteur du moment ? Ne pas avoir les oreilles qui dépassent ?
Les appels à soutien sont si souvent risibles, pauvres, que voilà, on fait "pffff" sans même plus y faire attention.
Dans le cas de N. Young il me semble qu'il y a un peu plus cerveau que chez d'autres (...). Il est critique avec Obama, n'avait pas été un support de H. Clinton par simple rejet de Trump. Il supporte Sanders depuis un bail. Sauf que bon, ce qui intéresse les torchons reste de pouvoir titrer un truc contre Trump. La pensée... c'est compliqué... ça prend de la place... tout ça. Donc les lecteurs ont vite fait de se positionner avec très très peu d'informations.
Savent-ils vraiment de quoi et qui ils parlent. On dirait qu'ils parlent de "l'anti-trumpisme" primaire alors que pas de bol, pour une fois, ce n'est pas le cas (je crois car des fois je peux parler sans trop savoir de quoi ni qui je parle).
Enfin bon : si l'on regarde un peu dans le rétro on dirait que quel que soit la personne à la maison blanche, cela peut changer dans la forme mais peu dans le fond (j'espere que l'avenir me donnera tort).
Citation de Fabrice le 23 février 2020, 23 h 51 minIl va aussi faire campagne avec le Crazy Horse (en Amérique du Nord) en 2020.
Il va aussi faire campagne avec le Crazy Horse (en Amérique du Nord) en 2020.
Citation de TiesThatBind le 24 mars 2020, 19 h 49 minNeil Young a mis en ligne les Fireside sessions, 28 minutes de concert acoustique at home, depuis son ranch sur la terrasse ou près de la cheminée, spécialement pour le confinement, avec quelques morceaux plutôt rares.
https://neilyoungarchives.com/movie-night
Neil Young a mis en ligne les Fireside sessions, 28 minutes de concert acoustique at home, depuis son ranch sur la terrasse ou près de la cheminée, spécialement pour le confinement, avec quelques morceaux plutôt rares.
Citation de TiesThatBind le 24 mars 2020, 20 h 39 minJ'ai retrouvé l'article du Monde du 22 mars qui en parlait (Huit concerts intimes pour public confiné) :
« Fireside sessions », de Neil Young
"Lundi 16 mars, l’icône folk-rock canadienne, Neil Young, avait envoyé ce message : « Puisque nous sommes à la maison et que beaucoup ne peuvent s’aventurer hors de chez eux, nous allons essayer de faire un stream au coin du feu, filmé par ma charmante épouse [l’actrice Daryl Hannah]. » Le chanteur tenait rapidement parole, en publiant sur son site, Neil Young Archives, le premier épisode de 28 minutes de ces Fireside Sessions, enregistré dans sa maison de Telluride, dans le Colorado.
Plutôt qu’au coin du feu, cela débute en plein air, dans un jardin décharné par l’hiver dominant un lac. Sous de petits flocons de neige, Neil Young, en casquette, jean, bottes en caoutchouc et éternelle chemise de bûcheron, attaque à la guitare acoustique et à l’harmonica (fixé sur un fer à cheval), un morceau de jeunesse, Sugar Mountain (1964), en portant un regard sur les grands espaces qui l’entourent.
On le retrouve ensuite près des flammes d’une cheminée en énormes pierres sèches, livrant de son émouvant falsetto quelques classiques (Vampire Blues, Tell Me Why), mais surtout des titres rarement joués comme Love/Art Blues, Razor Love ou ce Little Wing tiré de l’album Hawkes and Doves (1980), interprété sur un piano droit.
Ce live d’une rusticité intimiste, magnifiquement captée par la caméra de Daryl Hannah (dont on entend le rire et les remarques par intermittence), s’impose comme un nouveau moment fort dans la carrière de ce géant."
J'ai retrouvé l'article du Monde du 22 mars qui en parlait (Huit concerts intimes pour public confiné) :
« Fireside sessions », de Neil Young
"Lundi 16 mars, l’icône folk-rock canadienne, Neil Young, avait envoyé ce message : « Puisque nous sommes à la maison et que beaucoup ne peuvent s’aventurer hors de chez eux, nous allons essayer de faire un stream au coin du feu, filmé par ma charmante épouse [l’actrice Daryl Hannah]. » Le chanteur tenait rapidement parole, en publiant sur son site, Neil Young Archives, le premier épisode de 28 minutes de ces Fireside Sessions, enregistré dans sa maison de Telluride, dans le Colorado.
Plutôt qu’au coin du feu, cela débute en plein air, dans un jardin décharné par l’hiver dominant un lac. Sous de petits flocons de neige, Neil Young, en casquette, jean, bottes en caoutchouc et éternelle chemise de bûcheron, attaque à la guitare acoustique et à l’harmonica (fixé sur un fer à cheval), un morceau de jeunesse, Sugar Mountain (1964), en portant un regard sur les grands espaces qui l’entourent.
On le retrouve ensuite près des flammes d’une cheminée en énormes pierres sèches, livrant de son émouvant falsetto quelques classiques (Vampire Blues, Tell Me Why), mais surtout des titres rarement joués comme Love/Art Blues, Razor Love ou ce Little Wing tiré de l’album Hawkes and Doves (1980), interprété sur un piano droit.
Ce live d’une rusticité intimiste, magnifiquement captée par la caméra de Daryl Hannah (dont on entend le rire et les remarques par intermittence), s’impose comme un nouveau moment fort dans la carrière de ce géant."