Citation de bobe le 28 mars 2020, 20 h 08 min

Citation de Fabrice le 28 mars 2020, 19 h 56 min

Ça fait partie des chutes de tournage du documentaire Blood Brothers.

Il y a pas mal de choses qui circulent en vidéo. Et de l'audio (des inédits des sessions en studio avec le ESB) qui circule dans des cercles de collectionneurs (dont je ne fais pas partie).

😁 🙏 pour ta réponse; effectivement son origine peut venir d’un collectionneur !..

Citation de climbing_jo le 29 mars 2020, 22 h 35 min

Je profite du confinement pour lire "Bruce Springsteen FAQ : All that's left to know about the boos", un ebook qui traînait dans le disque. Et on apprend des trucs sympas !

Que faisait Springsteen en 1971 avec ses potes d'Asbury Park quand il  fallait tuer le temps en hiver, quand il n'y avait aucun concert ? Tout ressemblance avec une situation vécue en 2020 est fortuite !

Extrait :

" Les joueurs de Monopoly étaient une extension d'une activité que les musiciens de la région d'Asbury Park partageaient régulièrement, en particulier pendant les soirs de semaine d'hiver du début 1971. Springsteen était un adepte du Monopoly compétitif qui était presque toujours présent à l'appartement de Van Zandt - qui se trouvait juste en haut de la rue de Palace Amusements - les soirs où l'Upstage était fermé et/ou où il n'y avait pas de concerts.

Steve organisait les jeux, qui ont fini par passer du Monopoly au poker. En plus des musiciens, dont ses colocataires Lyon et Tellone, des habitués de la scène comme Danny Gallagher étaient presque toujours présents. Les concerts étaient difficiles à trouver à Asbury Park en hiver après les émeutes, et les jeux étaient un moyen d'occuper le temps des musiciens qui vivaient avec un ou deux dollars par jour.

En donnant une tournure locale au jeu, ils ont donné une touche d'Asbury Park à ce passe-temps sur le thème d'Atlantic City. Il y avait une carte du chef McCarthy, du nom du fonctionnaire de police de Middletown qui avait envoyé Federici se cacher. Quiconque tirait cette carte pouvait envoyer n'importe quel adversaire en prison. Et puis il y avait une carte "Riot", qui faisait la lumière sur les récentes crises raciales locales. Quiconque était assez chanceux pour obtenir cette dernière pouvait faire exploser l'immobilier de n'importe quel autre joueur.

Springsteen se présentait avec des snacks pour les sessions de Monopoly qu'il échangeait avec des joueurs affamés contre des biens. Bien entendu, cela lui donnait un avantage sur les autres joueurs.

"Il n'avait aucun scrupule", déclara Johnny Lyon au Time en 1975. Il se présentait et échangeait des Pepsis et des Drake's Cakes contre des hôtels. Et comme si cela ne suffisait pas, Springsteen était aussi un joueur de flipper moyen et pouvait généralement et pouvait mettre ses copains sur la paille."

Pour ceux que ça intéresse, un bon traducteur : http://www.DeepL.com (ca va plus vite que de le faire à la main !)