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The Lost Albums : Tracks II. Premier single Rain On The River
Selon BTX, le coffret commence à circuler (logique, puisqu'il faut bien faire la promo). Non, je ne l'ai pas (sérieusement).
Nos esprits (et les posts sur ce forum) sont largement tournés vers les concerts du moment. Même si la visite en France est terminée, nombre de "forumers" restent sur la route.
Et pourtant, la sortie du coffret Lost Albums approche. D'ici la fin de semaine, il y aura un nouveau single.
Bref, impatient d'en entendre plus?
Pas impatient plus que ça, mais peut être que les premiers extraits ne sont pas les meilleurs morceaux, il faudra prendre le temps d'explorer toute cette production, wait and see !
J'imagine que les extraits choisis doivent être pour Sony les meilleurs, pour pouvoir vendre les coffrets (qui sont une niche par rapport aux revenus du streaming), et titiller la presse et autres zinfluenceurs.
Ce que j'en ai entendu jusqu'à maintenant est mitigé.
Un album complet avec le clavier et la boite à rythme de Streets of Philadelphia ne m'emballe pas beaucoup.
Je suis très impatient et heureux de la somme de musique - en grande partie inédite - qu'on aura entre les oreilles dans quelques semaines, même si j'ai du mal à sortir de ma mélancolie post-concert de Marseille.
Le choix des singles est parfois déconcertant. D'ici la fin de semaine, on aura un extrait de Twilight, dont les quelques descriptions glannées après les premières écoutes (pas les miennes) sont intrigantes/tentantes. A noter que l'impasse faite sur l'album de 83 (qui pourtant a un certain appel commercial) avec un vrai single potentiel (Unsastified Heart) ou encore le "non-choix" de Waiting On The End Of The World me surprennent un peu.
C'est avec cette sortie de Tracks II que la fermeture des news du site Backstreets, il y a deux ans déjà, va être encore plus difficile.
On se souvient de tous leurs articles détaillant titre par titre le contenu du premier coffret Tracks. Un travail éditorial en profondeur fait par ceux qui connaissaient le mieux les enregistrements faits dans l'ombre par Springsteen, seul ou avec le groupe.
Il y a 45 ans, le premier numéro de Backstreets paraissait. The River n'était pas encore sorti.
Et pour rester dans la nostalgie, il y a 30 ans je mettais, enfin, la main sur mon premier numéro de Backstreets, trouvé à New York du côté de Washington Square où les principaux disquaires vendeurs de bootlegs avaient pignon sur rue.
Il y avait écrit en gros Murder Inc. sur la couverture, et la compilation Greatest Hits était chroniquée.
Il m'aura fallu attendre 30 ans, pour enfin entendre ce titre sur scène. Ici. A Marseille.
Citation de Fabrice le 10 juin 2025, 19 h 16 minLe choix des singles est parfois déconcertant. D'ici la fin de semaine, on aura un extrait de Twilight, dont les quelques descriptions glannées après les premières écoutes (pas les miennes) sont intrigantes/tentantes. A noter que l'impasse faite sur l'album de 83 (qui pourtant a un certain appel commercial) avec un vrai single potentiel (Unsastified Heart) ou encore le "non-choix" de Waiting On The End Of The World me surprennent un peu.
Le meilleur single extrait du coffret est selon moi le premier. Blindspot et Repo Man me semblent un peu anecdotiques et les deux autres sont dans la même veine « south border ». De façon générale, je ne perds pas de vue qu’il s’agit d’abord de titres qui, en leur temps, n’ont pas été jugés assez bons pour être publiés, ou pas assez pertinents pour sortir au moment de leur création. Je suis certain qu’il y aura des pépites car on a affaire à un songwriter top niveau avec un catalogue d’une densité incroyable en terme de qualité. Mais il est certain aussi qu’il y aura beaucoup de choses qui nous sembleront être des redites de chansons déjà parues. Mais ça c’est normal puisqu’il s’agit avant tout d’un artiste rock’n’roll… et qu’en terme de composition, beaucoup de sa musique déjà parue utilise les mêmes progressions d’accord traditionnelles de la musique américaine, en particulier dans la deuxième partie de sa carrière, pendant laquelle les influences country envahissent presque tout son travail (à la notable exception de son bref retour à la pop des albums Magic et WOAD, période injustement décriée). Autrement dit, je n’attends rien de révolutionnaire mais je me régale d’avance.