LOHAD

La communauté francophone des fans de Bruce Springsteen

LOHAD

Chanson Détail


Magic - 02/10/2007
Girls In Their Summer Clothes
Bruce Springsteen
Well, the streetlights shine down on Blessing Avenue
Lovers they walk by, holding hands two by two
A breeze crosses the porch, bicycle spokes spin 'round
My jackets on, I'm out the door
And tonight I'm gonna burn this town down

The girls in their summer clothes
In the cool of the evening light
The girls in their summer clothes, pass me by

A kids rubber ball smacks
Off the gutter 'neath the lamp light
Big bank clock chimes
Off go the sleepy front porch lights
Downtown the stores alight as the evening's underway
Things been a little tight
But I know their gonna turn my way

And the girls in their summer clothes
In the cool of the evening light
The girls in their summer clothes, pass me by

Frankie's diner, an old friend on the edge of town
The neon sign spinning round
Like a cross over the lost and found
The fluorescent lights flick over Pop's Grill
Shaniqua brings the coffee and asks "Fill?"
And says "Penny for your thoughts now my boy, Bill"

She went away, she cut me like a knife
Hello beautiful thing, maybe you could save my life
In just a glance, down here on magic street
Loves a fool's dance
And I ain't got much sense, but I still got my feet

The girls in their summer clothes
In the cool of the evening light
The girls in their summer clothes, pass me by

The girls in their summer clothes
In the cool of the evening light
The girls in their summer clothes, pass me by

Les lampadaires illuminent Blessing Avenue
Les amoureux se promènent deux par deux, main dans la main
Une légère brise traverse le perron, les rayons des vélos tournent
Ma veste sur le dos, je suis sur le pas de la porte
Et ce soir je vais mettre cette ville à feu

Les filles dans leurs tenues d'été
Dans la fraîcheur de la lumière du soir
Les filles dans leurs tenues d'été, passent près de moi

La balle en caoutchouc d'un gamin claque
Contre le caniveau sous le lampadaire
La grande horloge de la banque sonne
Les lumières endormies du perron s'éteignent
En ville les magasins s’éclairent tandis que la soirée s’installe
Les choses ont été un peu difficiles
Mais je sais qu’elles vont tourner à mon avantage

Et les filles dans leurs tenues d'été
Dans la fraîcheur de la lumière du soir
Les filles dans leurs tenues d'été, passent près de moi

Le resto de Frankie, un vieil ami à la sortie de la ville
L'enseigne lumineuse tourne
Comme une croix au-dessus des égarés
Les néons fluos clignotent sur Pop's Grill
Shaniqua apporte du café et demande «encore?»
Et dit "À quoi penses-tu maintenant mon gars, Bill"

Elle est partie, elle m'a tailladé comme un couteau
Salut ma jolie, peut-être que tu peux me sauver la vie
D'un simple coup d’œil, ici sur Magic Street
L’amour est une danse d 'idiots
Je n’ai plus toute ma tête, mais j'ai toujours mes pieds

Et les filles dans leurs tenues d'été
Dans la fraîcheur de la lumière du soir
Les filles dans leurs tenues d'été, passent près de moi

Et les filles dans leurs tenues d'été
Dans la fraîcheur de la lumière du soir
Les filles dans leurs tenues d'été, passent près de moi
Traduction : Chris64 - Philippe35 - Shenandoah
Notes: probablement inspirée d'une nouvelle de l'écrivain américain Irvin Shaw (1913-1984) The Girls in Their Summer Dresse publiée en 1939.

Musiciens additionnels: Patrick Warren au clavier (Chamberlin, tack piano) et une section de cordes composée de Kenn Wagner, Jay Christy, Justin Bruns, William Pu, Cristopher Pulgram, John Meisner, Olga Shpitko, Sheela Lyengar (violons), Tania Maxwell Clements, Amy Chang, Lachlan McBane (alto) et Karen Freer, Daniel Laufer, Charae Kruege (violoncelle).

Bruce Springsteen : “C’est le désir, le désir pour un monde parfait” continue Mr. Springsteen “ la musique pop est drôle. Elle allume (NDLT : provoque sexuellement parlant). Elle allume beaucoup mais ça ne reste qu’à ce stade et c’est en quoi elle est belle et drôle”
"j’imaginais une petite ville, je l’ai écrite au cours de l’été dernier et j’imaginais simplement cette idée où le rock parle d’abord de désir,…vous savez…toutes les grandes chansons rock parle désir… « Like a Rolling Stones » parle de désir…”How does it feel…To be without a home”…c’est tout dans … « Louie Louie», on aspire à “où est cette grande fête, je sais que c’est là bas, mais je ne peux pas la trouver (Rires)…Où est cette fille que je connais, la partenaire que je connais, que je connais, je sais qu’elle est par là à cette fête mais je ne peux pas la trouver. Votre vitalité, le physique dont vous êtes dotés, où sont ces choses, elles sont par là mais vous ne pouvez les saisir de vos mains. Le Rock & Roll élabore ces choses et c’est une petite pyrotechnique qu’il peut te donner…il peut crée une étincelle en vous qui vous mène à elles vous savez…et c’est le boulot d’un groupe de rock de créer cette étincelle chez les gens, de les amener à eux, à leur monde…à leur monde."