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Live Archive : The River Tour 1980/81
Citation de Fabrice le 13 mars 2020, 20 h 07 minIl y a aujourd'hui (Mars 2020) une cinquantaine de Live Archive. C'est beaucoup. Il est temps de faire le "tri", de solliciter les avis des uns des autres.
Lesquels de ces concerts sont des "musts"? Que peut-on dire du son, que ce soit du point de vue du mix, du mastering, etc? Bref, c'est un peu le "Que Choisir" des 50 millions de consommateurs de Bruce (qui n'ont jamais tout à fait tort).
Live Archive #4 : Uniondale, NY, Nassau Coliseum, 31/12/1980. Une version remixée de ce concert a été mise en ligne récemment en complément de la sortie #44
Live Archive #9 : Tempe, Az, ASU Activity Center, 5/11/1980. Sortie gratuite des 10 titres manquants sur le concert vidéo inclus dans le coffret Ties That Bind.
Live Archive #31: Wembley, UK, Wembley Arena, 5/6/1981.
Live Archive #44: Uniondale, NY, Nassau Coliseum, 29/12/1980.
Live Archive #54 : East Rutherford, NJ, Meadowlands Arena, 9/7/81
Il y a aujourd'hui (Mars 2020) une cinquantaine de Live Archive. C'est beaucoup. Il est temps de faire le "tri", de solliciter les avis des uns des autres.
Lesquels de ces concerts sont des "musts"? Que peut-on dire du son, que ce soit du point de vue du mix, du mastering, etc? Bref, c'est un peu le "Que Choisir" des 50 millions de consommateurs de Bruce (qui n'ont jamais tout à fait tort).
Live Archive #4 : Uniondale, NY, Nassau Coliseum, 31/12/1980. Une version remixée de ce concert a été mise en ligne récemment en complément de la sortie #44
Live Archive #9 : Tempe, Az, ASU Activity Center, 5/11/1980. Sortie gratuite des 10 titres manquants sur le concert vidéo inclus dans le coffret Ties That Bind.
Live Archive #31: Wembley, UK, Wembley Arena, 5/6/1981.
Live Archive #44: Uniondale, NY, Nassau Coliseum, 29/12/1980.
Live Archive #54 : East Rutherford, NJ, Meadowlands Arena, 9/7/81
Citation de phil le 19 mars 2020, 10 h 15 minencore une sacrée période pour les fans !
les 4 proposés pour l'instant ne sont peut être pas ce qui se fait de mieux
pour ma part j'en retiens seulement 2/4, le 31/12, dont la nouvelle version est une vraie amélioration du son et pas un simple bidouillage, et qui retrace une sacrée perf !
et, surprise peut être, le cd simple de tempe du 5/11 qui pour le coup enfonce allègrement les 3 autres archives de ce tour : tout y est, la qualité du son, la qualité des interprétations
je ne me lasse pas de cette archive !
encore une sacrée période pour les fans !
les 4 proposés pour l'instant ne sont peut être pas ce qui se fait de mieux
pour ma part j'en retiens seulement 2/4, le 31/12, dont la nouvelle version est une vraie amélioration du son et pas un simple bidouillage, et qui retrace une sacrée perf !
et, surprise peut être, le cd simple de tempe du 5/11 qui pour le coup enfonce allègrement les 3 autres archives de ce tour : tout y est, la qualité du son, la qualité des interprétations
je ne me lasse pas de cette archive !
Fichiers téléversés :
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Citation de Fabrice le 19 mars 2020, 23 h 56 minJ'espère qu'un jour, ils sortiront le live de Tempe (audio) en entier et en continu.. C'est un peu dommage d'avoir ça en deux morceaux. Enfin, ce serait bien que ça existe officiellement.
Le concert de Wembley est un cran en dessous (je trouve) mais ça reste quand même costaud. Je ne saurais pas trop pourquoi mais je préfère le concert du 29/12/80 à son petit frère de la Saint-Sylvestre. Je crois que je trouve cette performance un peu plus décousue (logiquement vu le contexte festif).
Mais, il y a -j'espère- encore quelques pépites dans les coffres pour cette tournée! Après tout, on a eu droit à deux fois plus de concerts de la tournée Darkness..
J'espère qu'un jour, ils sortiront le live de Tempe (audio) en entier et en continu.. C'est un peu dommage d'avoir ça en deux morceaux. Enfin, ce serait bien que ça existe officiellement.
Le concert de Wembley est un cran en dessous (je trouve) mais ça reste quand même costaud. Je ne saurais pas trop pourquoi mais je préfère le concert du 29/12/80 à son petit frère de la Saint-Sylvestre. Je crois que je trouve cette performance un peu plus décousue (logiquement vu le contexte festif).
Mais, il y a -j'espère- encore quelques pépites dans les coffres pour cette tournée! Après tout, on a eu droit à deux fois plus de concerts de la tournée Darkness..
Citation de nicco2 le 1 décembre 2020, 22 h 04 minNassau Coliseum 29 et 31/12/1980
Deux shows bien connus, entrés dans la légende des boots. Le son est précis, mais ne règle pas à mes oreilles la question des guitares, point faible des archives de cette tournée. De fait, la qualité sonore des rocks « à guitare » laisse à désirer : Cadillac, You can look… De tous les lives des tournées anciennes, ceux de la période River sont les plus décevants en terme de son.
Les prestations sont de très grande qualité et proposent des titres morceaux rarement joués à cette période : Night pour les deux shows, Spirit in the night, Incident, Rendez-vous, For You, Sandy… C’est ce qui donne à ces shows un côté best-of, un genre de résumé de l’œuvre à cette étape.
Toutefois, inévitablement, la longueur des shows fait que quelques scories apparaissent ça et là. Je ne suis pas fan de ces tempos encore trop rapides sur les titres récents (Ramrod, Out in the Street…). The Ties that bind (29/12) ne fonctionne pas très bien. Il y a des titres un peu anecdotiques, même si leur exécution est impeccable (Merry Xmas Baby). Le point fort de ces show est l’engagement de Springsteen. C’est une explosion de chaque instant, un marathon époustouflant qui n’est pas entré sans raisons dans la légende.
Entre les deux, la postérité a élu le 31/12 comme le meilleur, un demi-cran au dessus du 29/12. Je n’en étais plus trop sûr lorsque, il y a une quinzaine d’années, j’avais découvert le boot du 29/12 qui m’avait enthousiasmé. Mais l’écoute consécutive des deux shows ne me laisse plus de doute. Aussi excellente soit la prestation du 29, je trouve celle du 31 encore meilleure. Il s’agit d’un de ces shows exceptionnels, traversé par une énergie particulière.
La première partie pourrait facilement constituer le live idéal (1 h 15) : une ouverture impressionnante, 3 versions parfaites de trois classiques… Spirit, par exemple, un morceau entendu, mille fois, est délivré avec une fraîcheur incroyable. Night est un démarrage de rêve : chaque coup porte, chaque inflexion de voix est à sa place. Les extraits de Darkness sont brillants… La série finale Racing-River-Badland-Thunder Road est superlative. Net avantage pour le 31/12, si on s’en tient à la première partie. C’est au niveau de la seconde que les deux shows se rejoignent. La setlist, d’ailleurs, tend à se disperser, le show à se déconcentrer.
La soirée du 31 est alourdie par le passage au nouvel an, avec un tunnel de remplissage de 3 titres qui casse le rythme. Au même moment, le 29 délivre un excellent Incident. Un des temps forts de la seconde partie est le trio de morceaux calmes du nouvel album, au beau milieu de la tempête rock. Ce passage est particulièrement fort le 31/12. Mais le 29 a ses atouts, avec Incident, un 20th avenue impressionnant en début de concert et une setlist plus ramassée.
Nassau Coliseum 29 et 31/12/1980
Deux shows bien connus, entrés dans la légende des boots. Le son est précis, mais ne règle pas à mes oreilles la question des guitares, point faible des archives de cette tournée. De fait, la qualité sonore des rocks « à guitare » laisse à désirer : Cadillac, You can look… De tous les lives des tournées anciennes, ceux de la période River sont les plus décevants en terme de son.
Les prestations sont de très grande qualité et proposent des titres morceaux rarement joués à cette période : Night pour les deux shows, Spirit in the night, Incident, Rendez-vous, For You, Sandy… C’est ce qui donne à ces shows un côté best-of, un genre de résumé de l’œuvre à cette étape.
Toutefois, inévitablement, la longueur des shows fait que quelques scories apparaissent ça et là. Je ne suis pas fan de ces tempos encore trop rapides sur les titres récents (Ramrod, Out in the Street…). The Ties that bind (29/12) ne fonctionne pas très bien. Il y a des titres un peu anecdotiques, même si leur exécution est impeccable (Merry Xmas Baby). Le point fort de ces show est l’engagement de Springsteen. C’est une explosion de chaque instant, un marathon époustouflant qui n’est pas entré sans raisons dans la légende.
Entre les deux, la postérité a élu le 31/12 comme le meilleur, un demi-cran au dessus du 29/12. Je n’en étais plus trop sûr lorsque, il y a une quinzaine d’années, j’avais découvert le boot du 29/12 qui m’avait enthousiasmé. Mais l’écoute consécutive des deux shows ne me laisse plus de doute. Aussi excellente soit la prestation du 29, je trouve celle du 31 encore meilleure. Il s’agit d’un de ces shows exceptionnels, traversé par une énergie particulière.
La première partie pourrait facilement constituer le live idéal (1 h 15) : une ouverture impressionnante, 3 versions parfaites de trois classiques… Spirit, par exemple, un morceau entendu, mille fois, est délivré avec une fraîcheur incroyable. Night est un démarrage de rêve : chaque coup porte, chaque inflexion de voix est à sa place. Les extraits de Darkness sont brillants… La série finale Racing-River-Badland-Thunder Road est superlative. Net avantage pour le 31/12, si on s’en tient à la première partie. C’est au niveau de la seconde que les deux shows se rejoignent. La setlist, d’ailleurs, tend à se disperser, le show à se déconcentrer.
La soirée du 31 est alourdie par le passage au nouvel an, avec un tunnel de remplissage de 3 titres qui casse le rythme. Au même moment, le 29 délivre un excellent Incident. Un des temps forts de la seconde partie est le trio de morceaux calmes du nouvel album, au beau milieu de la tempête rock. Ce passage est particulièrement fort le 31/12. Mais le 29 a ses atouts, avec Incident, un 20th avenue impressionnant en début de concert et une setlist plus ramassée.
Citation de nicco2 le 1 décembre 2020, 22 h 09 minLondon 05/06/1981
Celui-là permet de mesurer le chemin accompli par le groupe depuis décembre 80. Des shows raccourcis d’une demi-heure et bien mieux construits. Springsteen a mis du temps à mettre en place une setlist solide et cohérente sur cette tournée.
Les titres s’enchaînent sans temps morts. Certains tempos sont un peu ralentis, révélateur d’une volonté de maîtriser l’énergie. Bruce nuance son chant, ne cherche plus nécessairement à forcer la note (comparer les Who’ll stop the rain de décembre 81 à celui-ci). L’air de rien, on a là une petite révolution dans le chant Springsteen qui cherche à se diversifier et se nuancer.
Le groupe joue carré comme jamais auparavant. On élague, on épure : exit les petites intros (River, Badlands), exit les hésitations, les petites notes de basse ou de piano qui traînent entre deux morceaux. Les derniers reliquats du Springsteen funky-punky première manière sont liquidés. On entre dans l’âge adulte.
Fort de ces progrès, le groupe peut dérouler un show énergique et sans accroc, solide et cohérent -hormis peut-être, l’ouverture ratée, un Born to Run un peu alenti. La première partie se déroule comme dans un rêve jusqu’à Thunder Road. La seconde est très solide, avec d’excellents Candy’s Room et Because the night.
L’option de mixage a misé sur les guitares. Elle se révèle payante sur la durée, surtout sur les rocks à guitare, beaucoup plus convaincants que sur les shows de Nassau.
En fin de compte, même si ce show n’est pas « exceptionnel » comme peuvent l’être ceux de Nassau, il fonctionne parfaitement du début à la fin. C’est simplement un excellent show d’une des plus grande périodes de la carrière live de Springsteen. Et à ce titre, c’est celui qui répond le mieux à ce que j’attends d’un « live idéal ». Peut-être le fait d’être confronté à un public exigeant et connaisseur a-t-il poussé Bruce et le ESB dans un état d’esprit plus offensif et concentré ?
London 05/06/1981
Celui-là permet de mesurer le chemin accompli par le groupe depuis décembre 80. Des shows raccourcis d’une demi-heure et bien mieux construits. Springsteen a mis du temps à mettre en place une setlist solide et cohérente sur cette tournée.
Les titres s’enchaînent sans temps morts. Certains tempos sont un peu ralentis, révélateur d’une volonté de maîtriser l’énergie. Bruce nuance son chant, ne cherche plus nécessairement à forcer la note (comparer les Who’ll stop the rain de décembre 81 à celui-ci). L’air de rien, on a là une petite révolution dans le chant Springsteen qui cherche à se diversifier et se nuancer.
Le groupe joue carré comme jamais auparavant. On élague, on épure : exit les petites intros (River, Badlands), exit les hésitations, les petites notes de basse ou de piano qui traînent entre deux morceaux. Les derniers reliquats du Springsteen funky-punky première manière sont liquidés. On entre dans l’âge adulte.
Fort de ces progrès, le groupe peut dérouler un show énergique et sans accroc, solide et cohérent -hormis peut-être, l’ouverture ratée, un Born to Run un peu alenti. La première partie se déroule comme dans un rêve jusqu’à Thunder Road. La seconde est très solide, avec d’excellents Candy’s Room et Because the night.
L’option de mixage a misé sur les guitares. Elle se révèle payante sur la durée, surtout sur les rocks à guitare, beaucoup plus convaincants que sur les shows de Nassau.
En fin de compte, même si ce show n’est pas « exceptionnel » comme peuvent l’être ceux de Nassau, il fonctionne parfaitement du début à la fin. C’est simplement un excellent show d’une des plus grande périodes de la carrière live de Springsteen. Et à ce titre, c’est celui qui répond le mieux à ce que j’attends d’un « live idéal ». Peut-être le fait d’être confronté à un public exigeant et connaisseur a-t-il poussé Bruce et le ESB dans un état d’esprit plus offensif et concentré ?
Citation de nicco2 le 1 décembre 2020, 22 h 09 minNJ Brendan Byrne Arena 09/07/1981
On était en droit d’attendre une grosse sortie avec les Brendan Byrne Arena de juillet 81. Ils sont connus, par la description détaillée qu’en fait Dave Marsh dans deux ou trois pages de sa biographie, et surtout, par les excellents extraits du coffret 75-85. Malheureusement, en ce qui me concerne, c’est la déception.
Le son est plus chaud que celui des deux Nassau 80. Mais il y a une imprécision, quelque chose qui m’a gêné au niveau des fréquences basse-medium, et qui m’a fait utiliser (sans grand succès) un equalizer.
Contrairement au London 81, l’option choisie ici a été une mise en avant de la voix. Pourquoi pas, mais c’est au détriment des guitares.
Le show est maîtrisé de bout en bout, sans temps mort ni scorie, ce qui n’a rien d’étonnant à ce stade de la tournée. J’aime bien l’utilisation de Thunder Road en ouverture. Mais la prestation me paraît peu exceptionnelle, pour ne pas dire routinière. A certains moments, la voix sonne un peu fatiguée, à d’autres, adoucie. Deux beaux moments : un excellent Racing in the Streets et le Jersey Girl magique que l’on connaît par le coffret. Les deux titres jouées avec Gary US Bond sont excellents.
Pour le reste, j’avoue que rien ne m’enthousiasme particulièrement. Rien de mauvais non plus (ça reste Springsteen dans moment fort de sa carrière), mais au regard des trois autres lives de la tournée, celui-ci n’ajoute rien de très essentiel, autre que les titres mentionnés. Bruce était-il en mode « morceaux calmes » ce soir-là ?
Six titres tiré de ce stand apparaissant dans le coffret officiel, mais un seul de cette soirée (Jersey Girl). Est-ce que cela indiquerait que ce show serait le plus faible de la série ? On verra bien avec une autre probable sortie tirée du stand.
NJ Brendan Byrne Arena 09/07/1981
On était en droit d’attendre une grosse sortie avec les Brendan Byrne Arena de juillet 81. Ils sont connus, par la description détaillée qu’en fait Dave Marsh dans deux ou trois pages de sa biographie, et surtout, par les excellents extraits du coffret 75-85. Malheureusement, en ce qui me concerne, c’est la déception.
Le son est plus chaud que celui des deux Nassau 80. Mais il y a une imprécision, quelque chose qui m’a gêné au niveau des fréquences basse-medium, et qui m’a fait utiliser (sans grand succès) un equalizer.
Contrairement au London 81, l’option choisie ici a été une mise en avant de la voix. Pourquoi pas, mais c’est au détriment des guitares.
Le show est maîtrisé de bout en bout, sans temps mort ni scorie, ce qui n’a rien d’étonnant à ce stade de la tournée. J’aime bien l’utilisation de Thunder Road en ouverture. Mais la prestation me paraît peu exceptionnelle, pour ne pas dire routinière. A certains moments, la voix sonne un peu fatiguée, à d’autres, adoucie. Deux beaux moments : un excellent Racing in the Streets et le Jersey Girl magique que l’on connaît par le coffret. Les deux titres jouées avec Gary US Bond sont excellents.
Pour le reste, j’avoue que rien ne m’enthousiasme particulièrement. Rien de mauvais non plus (ça reste Springsteen dans moment fort de sa carrière), mais au regard des trois autres lives de la tournée, celui-ci n’ajoute rien de très essentiel, autre que les titres mentionnés. Bruce était-il en mode « morceaux calmes » ce soir-là ?
Six titres tiré de ce stand apparaissant dans le coffret officiel, mais un seul de cette soirée (Jersey Girl). Est-ce que cela indiquerait que ce show serait le plus faible de la série ? On verra bien avec une autre probable sortie tirée du stand.
Citation de nicco2 le 1 décembre 2020, 22 h 28 minConclusion (novembre 2020) :
Sur les 4 shows, en terme de performance, le Nassau 31/12/1980 pourrait être le meilleur. Mais je juge des enregistrements live, pas des performances. Et de ce point de vue, le London 81 rafle la mise. Les options de mixage me conviennent, même si on peut espérer qu’ils fassent mieux à l’avenir. Il se rapproche le plus de ce que peut être dans mon esprit un live idéal de Bruce Springsteen et le ESB. Le rapport son/performance/cohérence est à mon goût le meilleur de la tournée. La prestation est rodée, intense, avec très peu de déchets. Il entre facilement dans mon Top 5 de toute la série.
- suit le Nassau 31/12/1980, un des meilleurs live de la série
- puis le Nassau 29/12/1981.
- le Byrne Arena 09/07/1981 est le seul qui ne me convainc pas
Je n’ai pas réécouté le Tempe 80, car il ne fait pas partie de la série et parce que je ne l’ai qu’en mp3. Mais il serait bon qu’il soit à l’avenir intégré dans la série.
Conclusion (novembre 2020) :
Sur les 4 shows, en terme de performance, le Nassau 31/12/1980 pourrait être le meilleur. Mais je juge des enregistrements live, pas des performances. Et de ce point de vue, le London 81 rafle la mise. Les options de mixage me conviennent, même si on peut espérer qu’ils fassent mieux à l’avenir. Il se rapproche le plus de ce que peut être dans mon esprit un live idéal de Bruce Springsteen et le ESB. Le rapport son/performance/cohérence est à mon goût le meilleur de la tournée. La prestation est rodée, intense, avec très peu de déchets. Il entre facilement dans mon Top 5 de toute la série.
- suit le Nassau 31/12/1980, un des meilleurs live de la série
- puis le Nassau 29/12/1981.
- le Byrne Arena 09/07/1981 est le seul qui ne me convainc pas
Je n’ai pas réécouté le Tempe 80, car il ne fait pas partie de la série et parce que je ne l’ai qu’en mp3. Mais il serait bon qu’il soit à l’avenir intégré dans la série.
Citation de nicco2 le 5 décembre 2020, 0 h 09 minMerci, le plaisir est pour moi. Je sais que le London avait modérément enthousiasmé par ici. Espérons d'autres sorties 81 pour mettre tout le monde d'accord.
Merci, le plaisir est pour moi. Je sais que le London avait modérément enthousiasmé par ici. Espérons d'autres sorties 81 pour mettre tout le monde d'accord.