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Nebraska Expanded [Sortie reportée au 24/10]
Citation de tofenko le 4 septembre 2025, 12 h 35 minCitation de Kyle William le 4 septembre 2025, 11 h 42 minCitation de arizojp le 4 septembre 2025, 0 h 15 minRock & Folk n°189, octobre 1982 (Bowie en couverture).
Nebraska, disque du mois. Chroniqué par Laurent Chalumeau (l'alter ego d'Antoine De Caunes depuis toujours). Son introduction est terrible à lire en 2025.
Il y a plusieurs pages sur John Fogerty dans le dernier numéro daté septembre 2025.
Qu'est-ce que j'ai pu les lire ces rock-critiques français qui se prenaient pour leurs célèbres devanciers américains, ou même pour de grand écrivains en puissance… et qu'est-ce qu'ils ont pu m'agacer, même si je les lisais quand même, Chalumeau n'étant pas le pire, d'ailleurs, seulement un des pires.
Trois remarques aujourd'hui : 1. Aucun de ces journalistes rock de R&F, Best, Libé, les Inrocks n'est effectivement devenu un grand écrivain, et encore moins un rocker lui-même. Tous sont restés plus ou moins des artistes frustrés (alors que dans leur domaine, Godard, Truffaut, Chabrol, Tavernier ont tous démarré comme critiques avant de devenir de grands cinéastes). 2. Plusieurs d'entre eux ont viré journalistes de droite, voire très très à droite. 3. A leur décharge, je dois reconnaître qu'un magazine d'aujourd'hui, comme Rolling Stone France, qui ne possède aucune bonne plume dans ses pages, est quand même beaucoup plus chiant à lire que le R&F d'autrefois et même que celui de maintenant.
Alors qu'aux USA, les agissements malsains de Trump et l'influence de l'IA conduisent de grands journaux (Chicago Tribune, New York Times, Vanity Fair…) à virer purement et simplement leurs critiques culturels, admettons que dans un pays démocratique, on a bien besoin de journalistes libres, aussi horripilants soient-ils.
Comme quoi il y a plusieurs façons de lire le truc...
Je ne suis pas d'accord avec toi, Chalumeau est devenu un bon voire un très bon (un grand je n'en sais rien...) écrivain de polars avec un style parfois agaçant mais le plus souvent poilant et assez efficace. J'ai beaucoup aimé Kif et plus récemment Vip... Il est d'ailleurs assez pote je crois avec Jaenada, Nicolas Matthieu et Despentes ce qui est quand même bon signe - et ils détestent tous Eric Emmanuel Schmidt - ce qui est très bon signe... Et je trouve sa critique de Nebraska plus risquée mais beaucoup plus pertinente que celle du mensuel rock de François Bensignor que n'importe lequel d'entre nous aurait presque pu écrire (sauf les comparaisons avec Cohen et surtout Donovan complètement hors-sol de mon point de vue...).
Chalumeau a certes ses défauts (la recherche trop systématique du bon mot ou de la phrase qui claque, surtout à l"époque) mais c'est pour moi un vrai écrivain.
Bon, c'est comme tout, les goûts et les couleurs... Lundi, j'ai rencontré un type au Leclerc culturel à côté de chez moi - j'avais le coffret CD tracks 2 dans les mains, je ne l'ai toujours pas acquis - qui n'aimait pas Springsteen (sauf Nebraska) et qui m'a dit s'être ennuyé à 2 concerts de Bruce (dont un pendant la tournée The River). Il trouvait le E Street Band trop mastoc et les concerts trop longs. Je n'étais évidemment pas d'accord mais l'échange n'était pas banal... Je me suis quand même demandé s'il n'avait pas un peu trop lu les Inrocks...
Et merci beaucoup pour les partages, Arizojp !
Citation de Kyle William le 4 septembre 2025, 11 h 42 minCitation de arizojp le 4 septembre 2025, 0 h 15 minRock & Folk n°189, octobre 1982 (Bowie en couverture).
Nebraska, disque du mois. Chroniqué par Laurent Chalumeau (l'alter ego d'Antoine De Caunes depuis toujours). Son introduction est terrible à lire en 2025.
Il y a plusieurs pages sur John Fogerty dans le dernier numéro daté septembre 2025.
Qu'est-ce que j'ai pu les lire ces rock-critiques français qui se prenaient pour leurs célèbres devanciers américains, ou même pour de grand écrivains en puissance… et qu'est-ce qu'ils ont pu m'agacer, même si je les lisais quand même, Chalumeau n'étant pas le pire, d'ailleurs, seulement un des pires.
Trois remarques aujourd'hui : 1. Aucun de ces journalistes rock de R&F, Best, Libé, les Inrocks n'est effectivement devenu un grand écrivain, et encore moins un rocker lui-même. Tous sont restés plus ou moins des artistes frustrés (alors que dans leur domaine, Godard, Truffaut, Chabrol, Tavernier ont tous démarré comme critiques avant de devenir de grands cinéastes). 2. Plusieurs d'entre eux ont viré journalistes de droite, voire très très à droite. 3. A leur décharge, je dois reconnaître qu'un magazine d'aujourd'hui, comme Rolling Stone France, qui ne possède aucune bonne plume dans ses pages, est quand même beaucoup plus chiant à lire que le R&F d'autrefois et même que celui de maintenant.
Alors qu'aux USA, les agissements malsains de Trump et l'influence de l'IA conduisent de grands journaux (Chicago Tribune, New York Times, Vanity Fair…) à virer purement et simplement leurs critiques culturels, admettons que dans un pays démocratique, on a bien besoin de journalistes libres, aussi horripilants soient-ils.
Comme quoi il y a plusieurs façons de lire le truc...
Je ne suis pas d'accord avec toi, Chalumeau est devenu un bon voire un très bon (un grand je n'en sais rien...) écrivain de polars avec un style parfois agaçant mais le plus souvent poilant et assez efficace. J'ai beaucoup aimé Kif et plus récemment Vip... Il est d'ailleurs assez pote je crois avec Jaenada, Nicolas Matthieu et Despentes ce qui est quand même bon signe - et ils détestent tous Eric Emmanuel Schmidt - ce qui est très bon signe... Et je trouve sa critique de Nebraska plus risquée mais beaucoup plus pertinente que celle du mensuel rock de François Bensignor que n'importe lequel d'entre nous aurait presque pu écrire (sauf les comparaisons avec Cohen et surtout Donovan complètement hors-sol de mon point de vue...).
Chalumeau a certes ses défauts (la recherche trop systématique du bon mot ou de la phrase qui claque, surtout à l"époque) mais c'est pour moi un vrai écrivain.
Bon, c'est comme tout, les goûts et les couleurs... Lundi, j'ai rencontré un type au Leclerc culturel à côté de chez moi - j'avais le coffret CD tracks 2 dans les mains, je ne l'ai toujours pas acquis - qui n'aimait pas Springsteen (sauf Nebraska) et qui m'a dit s'être ennuyé à 2 concerts de Bruce (dont un pendant la tournée The River). Il trouvait le E Street Band trop mastoc et les concerts trop longs. Je n'étais évidemment pas d'accord mais l'échange n'était pas banal... Je me suis quand même demandé s'il n'avait pas un peu trop lu les Inrocks...
Et merci beaucoup pour les partages, Arizojp !
Citation de Fabrice le 4 septembre 2025, 12 h 50 minL'histoire du contrat avec CBS est quand même bidon dans le papier de F. Bensignor.
L'histoire du contrat avec CBS est quand même bidon dans le papier de F. Bensignor.
Citation de tofenko le 4 septembre 2025, 12 h 58 minCitation de Fabrice le 4 septembre 2025, 12 h 50 minL'histoire du contrat avec CBS est quand même bidon dans le papier de F. Bensignor.
oui, ça sent l'invention pure et simple... Le mec devait être loin de s'imaginer qu'on le relirait 40 ans plus tard.
Citation de Fabrice le 4 septembre 2025, 12 h 50 minL'histoire du contrat avec CBS est quand même bidon dans le papier de F. Bensignor.
oui, ça sent l'invention pure et simple... Le mec devait être loin de s'imaginer qu'on le relirait 40 ans plus tard.
Citation de Marc le 4 septembre 2025, 12 h 59 minCitation de Fabrice le 4 septembre 2025, 12 h 35 min3 cds et 1 dvd/br selon le tracklist.
BIUSA (Electric Nebraska) sera le premier single.
pourtant on voit 5 cd (donc 4+1) 🤔
Citation de Fabrice le 4 septembre 2025, 12 h 35 min3 cds et 1 dvd/br selon le tracklist.
BIUSA (Electric Nebraska) sera le premier single.
pourtant on voit 5 cd (donc 4+1) 🤔
Citation de Fabrice le 4 septembre 2025, 13 h 02 minLe tracklist dit 4 disques.
Mais le Count Basie (live) est peut etre dispo en audio et en video.
Le tracklist dit 4 disques.
Mais le Count Basie (live) est peut etre dispo en audio et en video.
Citation de Kyle William le 4 septembre 2025, 13 h 17 minCitation de tofenko le 4 septembre 2025, 12 h 35 minCitation de Kyle William le 4 septembre 2025, 11 h 42 minCitation de arizojp le 4 septembre 2025, 0 h 15 minRock & Folk n°189, octobre 1982 (Bowie en couverture).
Nebraska, disque du mois. Chroniqué par Laurent Chalumeau (l'alter ego d'Antoine De Caunes depuis toujours). Son introduction est terrible à lire en 2025.
Il y a plusieurs pages sur John Fogerty dans le dernier numéro daté septembre 2025.
Qu'est-ce que j'ai pu les lire ces rock-critiques français qui se prenaient pour leurs célèbres devanciers américains, ou même pour de grand écrivains en puissance… et qu'est-ce qu'ils ont pu m'agacer, même si je les lisais quand même, Chalumeau n'étant pas le pire, d'ailleurs, seulement un des pires.
Trois remarques aujourd'hui : 1. Aucun de ces journalistes rock de R&F, Best, Libé, les Inrocks n'est effectivement devenu un grand écrivain, et encore moins un rocker lui-même. Tous sont restés plus ou moins des artistes frustrés (alors que dans leur domaine, Godard, Truffaut, Chabrol, Tavernier ont tous démarré comme critiques avant de devenir de grands cinéastes). 2. Plusieurs d'entre eux ont viré journalistes de droite, voire très très à droite. 3. A leur décharge, je dois reconnaître qu'un magazine d'aujourd'hui, comme Rolling Stone France, qui ne possède aucune bonne plume dans ses pages, est quand même beaucoup plus chiant à lire que le R&F d'autrefois et même que celui de maintenant.
Alors qu'aux USA, les agissements malsains de Trump et l'influence de l'IA conduisent de grands journaux (Chicago Tribune, New York Times, Vanity Fair…) à virer purement et simplement leurs critiques culturels, admettons que dans un pays démocratique, on a bien besoin de journalistes libres, aussi horripilants soient-ils.
Comme quoi il y a plusieurs façons de lire le truc...
Je ne suis pas d'accord avec toi, Chalumeau est devenu un bon voire un très bon (un grand je n'en sais rien...) écrivain de polars avec un style parfois agaçant mais le plus souvent poilant et assez efficace. J'ai beaucoup aimé Kif et plus récemment Vip... Il est d'ailleurs assez pote je crois avec Jaenada, Nicolas Matthieu et Despentes ce qui est quand même bon signe - et ils détestent tous Eric Emmanuel Schmidt - ce qui est très bon signe... Et je trouve sa critique de Nebraska plus risquée mais beaucoup plus pertinente que celle du mensuel rock de François Bensignor que n'importe lequel d'entre nous aurait presque pu écrire (sauf les comparaisons avec Cohen et surtout Donovan complètement hors-sol de mon point de vue...).
Chalumeau a certes ses défauts (la recherche trop systématique du bon mot ou de la phrase qui claque, surtout à l"époque) mais c'est pour moi un vrai écrivain.
Bon, c'est comme tout, les goûts et les couleurs... Lundi, j'ai rencontré un type au Leclerc culturel à côté de chez moi - j'avais le coffret CD tracks 2 dans les mains, je ne l'ai toujours pas acquis - qui n'aimait pas Springsteen (sauf Nebraska) et qui m'a dit s'être ennuyé à 2 concerts de Bruce (dont un pendant la tournée The River). Il trouvait le E Street Band trop mastoc et les concerts trop longs. Je n'étais évidemment pas d'accord mais l'échange n'était pas banal... Je me suis quand même demandé s'il n'avait pas un peu trop lu les Inrocks...
Et merci beaucoup pour les partages, Arizojp !
Ah mais ne nous méprenons pas, si je me fiche de la tête de Chalumeau, Bayon, Eudeline, et consorts, et même Ungemuth qui est plus jeune et que j'aimais bien, mais qui vire décidément très à droite lui aussi, je reconnais, comme je le disais, qu'un pays libre ne saurait exister sans journalistes libres, indépendants (et agaçants). Dans la famille Chalumeau, tu as la fille qui est devenu écrivaine pour bobos maintenant aussi.
La critique que le monsieur t'a faite, "E Street band trop mastoc, concerts trop longs". C'est celle que j'entends encore le plus souvent chez mes amis, fans de rock'n'roll comme moi, mais qui n'ont jamais aimé Springsteen que du bout des lèvres. Ils ne peuvent plus lui reprocher son côté Rambo de l'époque BITUSA, ils reconnaissent maintenant son talent et son importance, mais généralement ils ne goûtent guère vraiment que Nebraska, puisqu'on en parlait. Le reste leur paraîtra toujours trop premier degré (c'est exactement ce que j'aime), trop bourrin justement, voire trop commercial au niveau de la production (c'est quand même pas faux de 1985 à… 2012 à peu près.), je dirais en un mot, trop "américain".
Mes amis en question préfèreront toujours la sophistication et l'ironie du rock anglais à l'innocence et la primeur du modèle américain, c'est ce qui nous séparera toujours.
Citation de tofenko le 4 septembre 2025, 12 h 35 minCitation de Kyle William le 4 septembre 2025, 11 h 42 minCitation de arizojp le 4 septembre 2025, 0 h 15 minRock & Folk n°189, octobre 1982 (Bowie en couverture).
Nebraska, disque du mois. Chroniqué par Laurent Chalumeau (l'alter ego d'Antoine De Caunes depuis toujours). Son introduction est terrible à lire en 2025.
Il y a plusieurs pages sur John Fogerty dans le dernier numéro daté septembre 2025.
Qu'est-ce que j'ai pu les lire ces rock-critiques français qui se prenaient pour leurs célèbres devanciers américains, ou même pour de grand écrivains en puissance… et qu'est-ce qu'ils ont pu m'agacer, même si je les lisais quand même, Chalumeau n'étant pas le pire, d'ailleurs, seulement un des pires.
Trois remarques aujourd'hui : 1. Aucun de ces journalistes rock de R&F, Best, Libé, les Inrocks n'est effectivement devenu un grand écrivain, et encore moins un rocker lui-même. Tous sont restés plus ou moins des artistes frustrés (alors que dans leur domaine, Godard, Truffaut, Chabrol, Tavernier ont tous démarré comme critiques avant de devenir de grands cinéastes). 2. Plusieurs d'entre eux ont viré journalistes de droite, voire très très à droite. 3. A leur décharge, je dois reconnaître qu'un magazine d'aujourd'hui, comme Rolling Stone France, qui ne possède aucune bonne plume dans ses pages, est quand même beaucoup plus chiant à lire que le R&F d'autrefois et même que celui de maintenant.
Alors qu'aux USA, les agissements malsains de Trump et l'influence de l'IA conduisent de grands journaux (Chicago Tribune, New York Times, Vanity Fair…) à virer purement et simplement leurs critiques culturels, admettons que dans un pays démocratique, on a bien besoin de journalistes libres, aussi horripilants soient-ils.
Comme quoi il y a plusieurs façons de lire le truc...
Je ne suis pas d'accord avec toi, Chalumeau est devenu un bon voire un très bon (un grand je n'en sais rien...) écrivain de polars avec un style parfois agaçant mais le plus souvent poilant et assez efficace. J'ai beaucoup aimé Kif et plus récemment Vip... Il est d'ailleurs assez pote je crois avec Jaenada, Nicolas Matthieu et Despentes ce qui est quand même bon signe - et ils détestent tous Eric Emmanuel Schmidt - ce qui est très bon signe... Et je trouve sa critique de Nebraska plus risquée mais beaucoup plus pertinente que celle du mensuel rock de François Bensignor que n'importe lequel d'entre nous aurait presque pu écrire (sauf les comparaisons avec Cohen et surtout Donovan complètement hors-sol de mon point de vue...).
Chalumeau a certes ses défauts (la recherche trop systématique du bon mot ou de la phrase qui claque, surtout à l"époque) mais c'est pour moi un vrai écrivain.
Bon, c'est comme tout, les goûts et les couleurs... Lundi, j'ai rencontré un type au Leclerc culturel à côté de chez moi - j'avais le coffret CD tracks 2 dans les mains, je ne l'ai toujours pas acquis - qui n'aimait pas Springsteen (sauf Nebraska) et qui m'a dit s'être ennuyé à 2 concerts de Bruce (dont un pendant la tournée The River). Il trouvait le E Street Band trop mastoc et les concerts trop longs. Je n'étais évidemment pas d'accord mais l'échange n'était pas banal... Je me suis quand même demandé s'il n'avait pas un peu trop lu les Inrocks...
Et merci beaucoup pour les partages, Arizojp !
Ah mais ne nous méprenons pas, si je me fiche de la tête de Chalumeau, Bayon, Eudeline, et consorts, et même Ungemuth qui est plus jeune et que j'aimais bien, mais qui vire décidément très à droite lui aussi, je reconnais, comme je le disais, qu'un pays libre ne saurait exister sans journalistes libres, indépendants (et agaçants). Dans la famille Chalumeau, tu as la fille qui est devenu écrivaine pour bobos maintenant aussi.
La critique que le monsieur t'a faite, "E Street band trop mastoc, concerts trop longs". C'est celle que j'entends encore le plus souvent chez mes amis, fans de rock'n'roll comme moi, mais qui n'ont jamais aimé Springsteen que du bout des lèvres. Ils ne peuvent plus lui reprocher son côté Rambo de l'époque BITUSA, ils reconnaissent maintenant son talent et son importance, mais généralement ils ne goûtent guère vraiment que Nebraska, puisqu'on en parlait. Le reste leur paraîtra toujours trop premier degré (c'est exactement ce que j'aime), trop bourrin justement, voire trop commercial au niveau de la production (c'est quand même pas faux de 1985 à… 2012 à peu près.), je dirais en un mot, trop "américain".
Mes amis en question préfèreront toujours la sophistication et l'ironie du rock anglais à l'innocence et la primeur du modèle américain, c'est ce qui nous séparera toujours.
Citation de Marc le 4 septembre 2025, 13 h 19 minCitation de Fabrice le 4 septembre 2025, 13 h 02 minLe tracklist dit 4 disques.
Mais le Count Basie (live) est peut etre dispo en audio et en video.
C’est aussi ce que j’ai pensé
Sans doute que les tracklists que j’ai postées ce matin ne concernent que l’audio 💡.
Par contre je n’ai vu nulle part le nombre de vinyles. 4 sans doute 🤔
Citation de Fabrice le 4 septembre 2025, 13 h 02 minLe tracklist dit 4 disques.
Mais le Count Basie (live) est peut etre dispo en audio et en video.
C’est aussi ce que j’ai pensé
Sans doute que les tracklists que j’ai postées ce matin ne concernent que l’audio 💡.
Par contre je n’ai vu nulle part le nombre de vinyles. 4 sans doute 🤔
Citation de JBS2 le 4 septembre 2025, 13 h 39 minManque peut-être l’essentiel : l’album original remasterisé et ça fait 5, comme sur l’image? (4 cd + 1 dvd)
Manque peut-être l’essentiel : l’album original remasterisé et ça fait 5, comme sur l’image? (4 cd + 1 dvd)
Citation de Fabrice le 4 septembre 2025, 13 h 54 minCitation de JBS2 le 4 septembre 2025, 13 h 39 minManque peut-être l’essentiel : l’album original remasterisé et ça fait 5, comme sur l’image? (4 cd + 1 dvd)
L'album original y est (disque 4 sur les captures écran d'Amazon postées par Marc).
Citation de JBS2 le 4 septembre 2025, 13 h 39 minManque peut-être l’essentiel : l’album original remasterisé et ça fait 5, comme sur l’image? (4 cd + 1 dvd)
L'album original y est (disque 4 sur les captures écran d'Amazon postées par Marc).
Citation de Marc le 4 septembre 2025, 14 h 19 minLa présentation d'Amazon.es (traduite sur GL)
The story behind Bruce Springsteen's album Nebraska will be explored in the movie Deliver Me From Nowhere. Nebraska '82: Expanded Edition (four CDs + a Blu-Ray) brings together unreleased and revealing material from this prolific period, including the legendary 'Electric Nebraska' sessions with the E Street Band and solo recordings at home and in the studio, along with a 2025 remaster of the original album, plus a new movie with the ten Nebraska songs performed in sequence. Springsteen's 1982 acoustic masterpiece is expanded with 17 contemporary recordings (15 unreleased) that were part of the wave of inspiration that shaped Nebraska and share its disturbing themes. Together, they broaden our understanding of how this seminal album was conceived and reflect the breadth of Springsteen's creative intentions at a crucial moment in his artistic development.
La présentation d'Amazon.es (traduite sur GL)
The story behind Bruce Springsteen's album Nebraska will be explored in the movie Deliver Me From Nowhere. Nebraska '82: Expanded Edition (four CDs + a Blu-Ray) brings together unreleased and revealing material from this prolific period, including the legendary 'Electric Nebraska' sessions with the E Street Band and solo recordings at home and in the studio, along with a 2025 remaster of the original album, plus a new movie with the ten Nebraska songs performed in sequence. Springsteen's 1982 acoustic masterpiece is expanded with 17 contemporary recordings (15 unreleased) that were part of the wave of inspiration that shaped Nebraska and share its disturbing themes. Together, they broaden our understanding of how this seminal album was conceived and reflect the breadth of Springsteen's creative intentions at a crucial moment in his artistic development.
