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ROLLING STONES
Citation de Major Tom le 31 août 2023, 13 h 51 minUne BD "Altamont" chez GLÉNAT sort aujourd'hui...
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https://www.actuabd.com/Altamont-le-dramatique-tournant-du-Flower-Power
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"Altamont", le dramatique tournant du Flower Power
Cinq jeunes en route pour le concert de rock gratuit organisé par les Rolling Stones, voient leurs vies changer à tout jamais lors de ce rassemblement qui va bouleverser l’Amérique et marquer la fin du mouvement "Flower Power". L’association d’un scénariste hors-cadre avec le talentueux dessinateur de "The Walking Dead" délivre l’un des récits les plus marquants de cette rentrée. À ne pas rater.Quand le scénariste de Bad Ass et de la série des 7 Détectives rencontre Charlie Adlard, cela ne pouvait que provoquer des étincelles. Et cette couverture choc annonce en effet un témoignage sombre et poignant autour du festival d’Altamont, organisé quatre mois après Woodstock et en "réponse" à celui-ci. Un événement marqué par les affrontements de certains spectateurs avec les Hell’s Angels, chargés de la « sécurité » et payés en bière (authentique !).
Le récit débute pourtant doucement, au sein d’un combi BMW avec lequel nos cinq amis traversent le pays. Cela ne commence d’ailleurs pas vraiment, car il n’y a pas d’élément déclencheur pour utiliser le jargon narratif, pas de déclic pour lancer l’intrigue. Un canevas perturbé qui correspond parfaitement à Herik Hanna, le scénariste n’aime pas respecter les convenances. Chacune de ses histoires s’en ressent, pour le bonheur des lecteurs exigeants.
Altamont n’échappe heureusement pas à la règle ! Cela commence donc sans commencer, ou alors cela a déjà commencé et on arrive dix minutes après le début du film. Il s’agit surtout d’une parfaite montée en puissance pour présenter ses personnages et surtout l’atmosphère de l’époque tout en tenant le lecteur en haleine via de micros ellipses : lors d’une longue route, on parle de tout et de rien, on fait des rencontres, on est arrêté par les flics pour un contrôle, on se demande quel est le meilleur guitariste du moment, on échange quelques "civilités" avec d’autres voitures dans les bouchons, sans oublier l’alcool et la défonce.
Un excellent procédé pour ressentir le clivage d’une époque et dépasser justement quelques clichés : le mouvement Flower Power qui ne rime pas toujours à 100% à la non-violence, la guerre du Vietnam bat son plein et certains parents préfèrent voir leurs enfants y partir que de traîner d’un coin à l’autre du pays. C’est surtout l’histoire d’un pays profondément divisé et qui se cherche, désespérément.
La transition vers la seconde partie du récit s’opère magistralement avec un grand dépliant, qui nous ouvre littéralement les portes sur le lieu du fameux concert. Au lieu de diaboliser les Hells Angels, Hanna provoque une rencontre beaucoup plus subtile, démontrant qu’au final, aucune faction n’est complètement bonne ou mauvaise. Une fois de plus l’atmosphère du rassemblement prime, pour démontrer que la mise en relation des personnes domine presque l’aspect musical de l’événement. Une rencontre un brin désabusée, au diapason de cette page qui se tourne.
La dernière partie, attendue, ne fait plus dans la dentelle. La musique est au programme, certes, mais la situation échappe surtout complètement à l’organisation, ce qui est à la fois très bien décrit et vécu par nos protagonistes. Hanna évite le piège du documentaire, ne donnant parfois que des prénoms d’artiste et surtout en faisant complètement l’impasse sur le meurtre de Meredith Hunter, une des quatre personnes qui ont trouvé la mort pendant le festival [1]. L’important était avant tout de montrer la fin d’une époque, et c’est magistralement rendu.
- Charlie Adlard
- Photo : CL Detournay.
Bien entendu, cette réussite n’aurait pas été possible sans le talent de Charlie Adlard, qui éclate à chaque page, certainement grâce un investissement livré sans compter. « J’aime vraiment ce qu’on appelle en français « la bande dessinée », nous expliquait-il précédemment. J’ai toujours voulu travailler dans ce registre. Et même, d’une manière générale, je voudrais travailler davantage encore pour le marché français ! J’aime le format de la BD franco-belge, j’aime ce que les auteurs y réalisent, j’aime les possibilités qu’il renferme et ce qu’il y a moyen d’en faire. J’aime avant tout sa qualité : j’ai le sentiment que vos bandes dessinées sont réalisées avec plus d’amour, plus d’attention et de détails que sur le marché américain. Travailler sur ce format me procure donc un très grand plaisir ! »
Après le Vampire State Building, certes un peu formaté, Adlard démontre son investissement dans ce long one-shot dans un format qui lui convient mieux. Les costumes, les décors, la trame à l’ancienne, tout participe à s’immerger pleinement dans cette fin de décennie. Mais plus que tout, les personnages conduisent pleinement le récit. Les expressions sont soignées, les positions sont adéquates, si bien qu’on entre en résonnance avec eux, devenant un sixième membre de cette bande hétéroclite. Charlie Adlard a réalisé un magnifique travail sur cet album, et son implication porte Altamont à un niveau qu’on ne pensait pas possible initialement.
Terminons par saluer l’épilogue du récit, qui rassemble le destin des personnages au le fil de l’Histoire dans un switch bienvenu. À n’en pas douter, Altamont est l’un des romans graphiques de la rentrée : profond, sombre, il livre le panorama d’une Amérique qui s’est perdue et comment elle a tenté de se reconstruire par la suite.
Une BD "Altamont" chez GLÉNAT sort aujourd'hui...
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https://www.actuabd.com/Altamont-le-dramatique-tournant-du-Flower-Power
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"Altamont", le dramatique tournant du Flower Power
Quand le scénariste de Bad Ass et de la série des 7 Détectives rencontre Charlie Adlard, cela ne pouvait que provoquer des étincelles. Et cette couverture choc annonce en effet un témoignage sombre et poignant autour du festival d’Altamont, organisé quatre mois après Woodstock et en "réponse" à celui-ci. Un événement marqué par les affrontements de certains spectateurs avec les Hell’s Angels, chargés de la « sécurité » et payés en bière (authentique !).
Le récit débute pourtant doucement, au sein d’un combi BMW avec lequel nos cinq amis traversent le pays. Cela ne commence d’ailleurs pas vraiment, car il n’y a pas d’élément déclencheur pour utiliser le jargon narratif, pas de déclic pour lancer l’intrigue. Un canevas perturbé qui correspond parfaitement à Herik Hanna, le scénariste n’aime pas respecter les convenances. Chacune de ses histoires s’en ressent, pour le bonheur des lecteurs exigeants.
Altamont n’échappe heureusement pas à la règle ! Cela commence donc sans commencer, ou alors cela a déjà commencé et on arrive dix minutes après le début du film. Il s’agit surtout d’une parfaite montée en puissance pour présenter ses personnages et surtout l’atmosphère de l’époque tout en tenant le lecteur en haleine via de micros ellipses : lors d’une longue route, on parle de tout et de rien, on fait des rencontres, on est arrêté par les flics pour un contrôle, on se demande quel est le meilleur guitariste du moment, on échange quelques "civilités" avec d’autres voitures dans les bouchons, sans oublier l’alcool et la défonce.
Un excellent procédé pour ressentir le clivage d’une époque et dépasser justement quelques clichés : le mouvement Flower Power qui ne rime pas toujours à 100% à la non-violence, la guerre du Vietnam bat son plein et certains parents préfèrent voir leurs enfants y partir que de traîner d’un coin à l’autre du pays. C’est surtout l’histoire d’un pays profondément divisé et qui se cherche, désespérément.
La transition vers la seconde partie du récit s’opère magistralement avec un grand dépliant, qui nous ouvre littéralement les portes sur le lieu du fameux concert. Au lieu de diaboliser les Hells Angels, Hanna provoque une rencontre beaucoup plus subtile, démontrant qu’au final, aucune faction n’est complètement bonne ou mauvaise. Une fois de plus l’atmosphère du rassemblement prime, pour démontrer que la mise en relation des personnes domine presque l’aspect musical de l’événement. Une rencontre un brin désabusée, au diapason de cette page qui se tourne.
La dernière partie, attendue, ne fait plus dans la dentelle. La musique est au programme, certes, mais la situation échappe surtout complètement à l’organisation, ce qui est à la fois très bien décrit et vécu par nos protagonistes. Hanna évite le piège du documentaire, ne donnant parfois que des prénoms d’artiste et surtout en faisant complètement l’impasse sur le meurtre de Meredith Hunter, une des quatre personnes qui ont trouvé la mort pendant le festival [1]. L’important était avant tout de montrer la fin d’une époque, et c’est magistralement rendu.
- Charlie Adlard
- Photo : CL Detournay.
Bien entendu, cette réussite n’aurait pas été possible sans le talent de Charlie Adlard, qui éclate à chaque page, certainement grâce un investissement livré sans compter. « J’aime vraiment ce qu’on appelle en français « la bande dessinée », nous expliquait-il précédemment. J’ai toujours voulu travailler dans ce registre. Et même, d’une manière générale, je voudrais travailler davantage encore pour le marché français ! J’aime le format de la BD franco-belge, j’aime ce que les auteurs y réalisent, j’aime les possibilités qu’il renferme et ce qu’il y a moyen d’en faire. J’aime avant tout sa qualité : j’ai le sentiment que vos bandes dessinées sont réalisées avec plus d’amour, plus d’attention et de détails que sur le marché américain. Travailler sur ce format me procure donc un très grand plaisir ! »
Après le Vampire State Building, certes un peu formaté, Adlard démontre son investissement dans ce long one-shot dans un format qui lui convient mieux. Les costumes, les décors, la trame à l’ancienne, tout participe à s’immerger pleinement dans cette fin de décennie. Mais plus que tout, les personnages conduisent pleinement le récit. Les expressions sont soignées, les positions sont adéquates, si bien qu’on entre en résonnance avec eux, devenant un sixième membre de cette bande hétéroclite. Charlie Adlard a réalisé un magnifique travail sur cet album, et son implication porte Altamont à un niveau qu’on ne pensait pas possible initialement.
Terminons par saluer l’épilogue du récit, qui rassemble le destin des personnages au le fil de l’Histoire dans un switch bienvenu. À n’en pas douter, Altamont est l’un des romans graphiques de la rentrée : profond, sombre, il livre le panorama d’une Amérique qui s’est perdue et comment elle a tenté de se reconstruire par la suite.
Fichiers téléversés :
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Citation de Marc le 5 septembre 2023, 9 h 20 minCitation de cc rider le 22 août 2023, 23 h 38 minCa se précise…enfin!
« Hackney Diamonds », le 23e album des Stones paraîtra en octobre
Soit 18 ans après “A bigger bang”, leur précédent “nouvel album”
Le temps d’une majorité
Chez Jimmy demain
Rolling Stones LIVE in conversation with Jimmy Fallon - YouTube
Citation de cc rider le 22 août 2023, 23 h 38 minCa se précise…enfin!
« Hackney Diamonds », le 23e album des Stones paraîtra en octobre
Soit 18 ans après “A bigger bang”, leur précédent “nouvel album”
Le temps d’une majorité
Chez Jimmy demain
Rolling Stones LIVE in conversation with Jimmy Fallon - YouTube
Citation de Kyle William le 5 septembre 2023, 16 h 40 min
Citation de cc rider le 5 septembre 2023, 23 h 39 minJe n’ai pas écouté l’extrait.
Tout comme je vais essayer de ne pas écouter le titre en entier lorsqu’il sera rendu public, demain je pense.
Je vais tenter l’impasse jusqu’à la parution de l’album, que je me réjoui de découvrir dans son intégralité. Je me ferais alors ma propre idée sur le chef d’œuvre ou la purge que ce sera.Par contre, ce que je trouve amusant c’est que cet extrait affiche 18 secondes sur le lien YouTube.
Soit donc, hasard ou coïncidence, 1 secondes par année entre la parution de “A Bigger Bang”, leur dernier album original paru en 2005, et ce “Hackney Diamond” annoncé pour fin octobre 🙂
Je n’ai pas écouté l’extrait.
Tout comme je vais essayer de ne pas écouter le titre en entier lorsqu’il sera rendu public, demain je pense.
Je vais tenter l’impasse jusqu’à la parution de l’album, que je me réjoui de découvrir dans son intégralité. Je me ferais alors ma propre idée sur le chef d’œuvre ou la purge que ce sera.
Par contre, ce que je trouve amusant c’est que cet extrait affiche 18 secondes sur le lien YouTube.
Soit donc, hasard ou coïncidence, 1 secondes par année entre la parution de “A Bigger Bang”, leur dernier album original paru en 2005, et ce “Hackney Diamond” annoncé pour fin octobre 🙂
Citation de cc rider le 6 septembre 2023, 17 h 09 minimpossible de faire l’impasse…je suis faible lorsque les Stones sont dans les parages.
l’intv avec Fallon était super drôle. Tout en cool et en humour.
Et le nouveau titre?
Et bien ils savent encore écrire (au moins) une très bonne chansonRiff excellent, refrain qui fonctionne, pont atomique qui envoie le solo bien comme il faut.
Et pas de fade up pourri à la fin.3’30. Pas de gras. Un pur single quoi…
https://www.youtube.com/watch?v=_mEC54eTuGw
impossible de faire l’impasse…je suis faible lorsque les Stones sont dans les parages.
l’intv avec Fallon était super drôle. Tout en cool et en humour.
Et le nouveau titre?
Et bien ils savent encore écrire (au moins) une très bonne chanson
Riff excellent, refrain qui fonctionne, pont atomique qui envoie le solo bien comme il faut.
Et pas de fade up pourri à la fin.
3’30. Pas de gras. Un pur single quoi…
Citation de outlawpedro le 6 septembre 2023, 18 h 46 minOui ! .... c'est du tout bon, vivement l'album
Oui ! .... c'est du tout bon, vivement l'album
Citation de albop le 6 septembre 2023, 19 h 47 minUne critique assez lucide :
A part ça, passé l'enthousiasme initial des fans, ce morceau finira probablement aux oubliettes. Comme disait un ami "on en fera pas un élevage".
Une critique assez lucide :
A part ça, passé l'enthousiasme initial des fans, ce morceau finira probablement aux oubliettes. Comme disait un ami "on en fera pas un élevage".
Citation de cc rider le 6 septembre 2023, 20 h 34 minCitation de albop le 6 septembre 2023, 19 h 47 minUne critique assez lucide :
A part ça, passé l'enthousiasme initial des fans, ce morceau finira probablement aux oubliettes. Comme disait un ami "on en fera pas un élevage".
Cette critique est verbeuse
Evidemment, il y a plein de choses sur lesquelles je suis d’accord (comment ne pas l’être lorsqu’il souligne que “Some Girls” est le dernier album potable du groupe) et que le groupe ne fait qu’entretenir sa légende depuis des années.
Il était visiblement prêt à dégainer (ces références bien préparées à Fernandel et au pape il en est tellement content qu’il les répète deux fois). Joli gimmick qu’il a du tester en soirée 🙂Mais il oublie une chose, selon moi, c’est de laisser fonctionner le cœur au détriment du cerveau.
Lorsqu’il démoli “blue and lonesome”, il oublie que cet album est un simple hommage.
Lorsqu’il évoque “All down the line”, il oublie peut être quelques très bonnes chansons parues dans les 5 ans qui ont précédé “Some Girls”.Il n’aime pas Jagger visiblement. C’est son droit. Mais c’est le même Jagger, qui en toute franchise, à la fin du doc “Crossfire Hurricane”, très lucidement évoque le fait qu’à partir de 81, le groupe est devenu “un autre groupe”.
Et il ne parle la que du single, ce qui fait beaucoup de signes pour une chanson de 3’30. Que certes, nous oublierons peut être? Ou pas.
Mais qui pour moi, qui n’attendait rien de bien fameux, est un vrai bonheur se simplicité rock’n’Roll sans prétention. Rien de plus. Ni de moins.
Mais c’est le cœur qui parle. Pas le cerveau 🙂
Citation de albop le 6 septembre 2023, 19 h 47 minUne critique assez lucide :
A part ça, passé l'enthousiasme initial des fans, ce morceau finira probablement aux oubliettes. Comme disait un ami "on en fera pas un élevage".
Cette critique est verbeuse
Evidemment, il y a plein de choses sur lesquelles je suis d’accord (comment ne pas l’être lorsqu’il souligne que “Some Girls” est le dernier album potable du groupe) et que le groupe ne fait qu’entretenir sa légende depuis des années.
Il était visiblement prêt à dégainer (ces références bien préparées à Fernandel et au pape il en est tellement content qu’il les répète deux fois). Joli gimmick qu’il a du tester en soirée 🙂
Mais il oublie une chose, selon moi, c’est de laisser fonctionner le cœur au détriment du cerveau.
Lorsqu’il démoli “blue and lonesome”, il oublie que cet album est un simple hommage.
Lorsqu’il évoque “All down the line”, il oublie peut être quelques très bonnes chansons parues dans les 5 ans qui ont précédé “Some Girls”.
Il n’aime pas Jagger visiblement. C’est son droit. Mais c’est le même Jagger, qui en toute franchise, à la fin du doc “Crossfire Hurricane”, très lucidement évoque le fait qu’à partir de 81, le groupe est devenu “un autre groupe”.
Et il ne parle la que du single, ce qui fait beaucoup de signes pour une chanson de 3’30. Que certes, nous oublierons peut être? Ou pas.
Mais qui pour moi, qui n’attendait rien de bien fameux, est un vrai bonheur se simplicité rock’n’Roll sans prétention. Rien de plus. Ni de moins.
Mais c’est le cœur qui parle. Pas le cerveau 🙂
Citation de cc rider le 6 septembre 2023, 20 h 37 minCitation de cc rider le 6 septembre 2023, 20 h 34 minEn tout cas, Largement au dessus de tout les “inédits” qui ont garni les divers Best of, singles inédits et Greatest hits de ces 20 dernières années.
Citation de cc rider le 6 septembre 2023, 20 h 34 min
En tout cas, Largement au dessus de tout les “inédits” qui ont garni les divers Best of, singles inédits et Greatest hits de ces 20 dernières années.
Citation de Kyle William le 6 septembre 2023, 21 h 42 minCe que veut dire Jagger, c’est que à partir de 81 ans, ce sera un autre groupe.
Ce que veut dire Jagger, c’est que à partir de 81 ans, ce sera un autre groupe.